L’histoire triste d’une femme sans bras qui a dû payer un homme pour l’engrosser

Nelson Mandela a dit un jour : « Le courage n’est pas l’absence de peur mais le triomphe de celle-ci.  Un homme courageux est celui qui n’a pas peur mais celui qui vainc la peur. » 

Quoi qu’il arrive, il faut continuer à se battre et ne jamais abandonner.

De nombreuses personnes ont vécu des histoires inédites, des émotions cachées et une douleur atroce alors que nous anticipons patiemment des jours meilleurs qui nous échappent parfois. 

Cette histoire est racontée par Rebecca Benty, une infirmière, humaniste, philanthrope, créatrice de contenu qui s’efforce uniquement de motiver les cœurs brisés et les opprimés.

Plusieurs personnes ont eu du mal à vivre la vie que nous menons maintenant, donc cela peut être très mauvais si les gens nous comprennent mal. 

Les circonstances ont changé, la tragédie se produit et c’est ainsi qu’elle doit vivre la vie. 

Jacqueline, une brave dame, jusqu’à son drame, menait une vie confortable avec sa famille intime.  À l’âge de 12 ans, sa maison a été agressée par un criminel non identifié.  Toute la famille de cinq (5) individus a été assassinée sous son regard.  Elle avait des parents, des frères et sœurs et d’autres parents. 

L’expérience de Jacqueline a été plus tragique lorsque son œil gauche a été arraché alors que son bras a été amputé et qu’elle aurait par la suite rendu l’âme.  Dieu étant si bon, elle a été ramenée à la vie dans des circonstances étranges, oui elle a survécu. 

À sa grande déception, elle a découvert au réveil que sa main gauche et son œil n’étaient pas là.  Son seul désir ensuite était que la mort vienne l’enlever.  Les humains valides luttent jour après jour, comment pouvons-nous nous attendre à ce qu’une personne amputé physiquement survive. 

Elle a atteint l’âge du mariage et il n’y avait personne pour épouser une femme qui a ces problèmes physiques.

Tous les efforts déployés se sont avérés vains et elle n’avait d’autre alternative que de convaincre un homme inconnu, c’est-à-dire qu’elle était obligée de le payer pour la mettre enceinte.  C’était son désir puisqu’elle voulait aussi fonder une famille

Sa fille Chantelle appelle tous ceux qu’elle voit dans la rue comme « papa » parce que son père biologique a été embauché ou a obtenu un contrat.  Elle ne l’a jamais vu et cela lui donne la certitude que dans un avenir proche, les choses iront mieux.