Le marché conclu sur les réseaux sociaux, l’éleveur G.P. a convoyé un premier camion d’œufs d’un montant de plus d’un million de FCfa qu’il a remis à un homme qui s’est fait passer pour Konan Kouamé, l’acheteur.
À la seconde commande, les envoyés de l’éleveur ont réclamé l’argent du premier camion et ont reçu un chèque. Séance tenante, l’acheteur a encore demandé un autre chargement.
Les envoyés ont pris le soin d’informer leur patron absent du pays. Ce dernier a donné son accord pour un troisième camion chose qui a été faite les jours qui ont suivi.
Rentré au pays, l’éleveur s’est rendu à la banque pour le dépôt des chèques. Malheureusement, il n’aura pas gain de cause. Son client n’étant pas domicilié à la banque indiquée.
L’éleveur a signifié cela à son client. L’acheteur toujours sur les réseaux sociaux a fait croire au fermier que c’était certainement une erreur de la part de la banque. Pendant ce temps, il passe encore une quatrième commande. Comme d’habitude, il demande à être livré pendant la nuit entre 2 heures et 3 heures du matin.
Aidé par la police, l’éleveur a mis la main sur l'homme qui s’est fait passer pour Konan Kouamé, l’acheteur. « C’est mon patron qui m’a demandé de me faire passer pour lui en disant que je suis Konan Kouamé... Sinon, il se nomme en réalité Simon A.Z. Ce sont les consignes qu’il m’a laissées. Je ne fais que suivre ses directives », a laissé entendre l’employé de l’acheteur.
À la barre, l’employé a reconnu avoir reçu 3 camions d’œufs de poules ce qui équivaut à 95 cartons.
Pour être plus explicite, le plaignant a indiqué qu’un carton contient 14 plaquettes d’œufs pour une valeur de 32 200 FCfa. Le fermier a réclamé la somme de 3 059 000 FCfa à l’acheteur qu’il n’a jamais vu puisque les négociations ont été faites via WhatsApp.
Pour l’heure, l’acheteur Simon A.Z. qui a donné une fausse identité est introuvable. Les enquêtes se poursuivent pour épingler l'acheteur roublard.
À la seconde commande, les envoyés de l’éleveur ont réclamé l’argent du premier camion et ont reçu un chèque. Séance tenante, l’acheteur a encore demandé un autre chargement.
Les envoyés ont pris le soin d’informer leur patron absent du pays. Ce dernier a donné son accord pour un troisième camion chose qui a été faite les jours qui ont suivi.
Rentré au pays, l’éleveur s’est rendu à la banque pour le dépôt des chèques. Malheureusement, il n’aura pas gain de cause. Son client n’étant pas domicilié à la banque indiquée.
L’éleveur a signifié cela à son client. L’acheteur toujours sur les réseaux sociaux a fait croire au fermier que c’était certainement une erreur de la part de la banque. Pendant ce temps, il passe encore une quatrième commande. Comme d’habitude, il demande à être livré pendant la nuit entre 2 heures et 3 heures du matin.
Aidé par la police, l’éleveur a mis la main sur l'homme qui s’est fait passer pour Konan Kouamé, l’acheteur. « C’est mon patron qui m’a demandé de me faire passer pour lui en disant que je suis Konan Kouamé... Sinon, il se nomme en réalité Simon A.Z. Ce sont les consignes qu’il m’a laissées. Je ne fais que suivre ses directives », a laissé entendre l’employé de l’acheteur.
À la barre, l’employé a reconnu avoir reçu 3 camions d’œufs de poules ce qui équivaut à 95 cartons.
Pour être plus explicite, le plaignant a indiqué qu’un carton contient 14 plaquettes d’œufs pour une valeur de 32 200 FCfa. Le fermier a réclamé la somme de 3 059 000 FCfa à l’acheteur qu’il n’a jamais vu puisque les négociations ont été faites via WhatsApp.
Pour l’heure, l’acheteur Simon A.Z. qui a donné une fausse identité est introuvable. Les enquêtes se poursuivent pour épingler l'acheteur roublard.
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