
Le mardi 29 avril, le Premier ministre François Bayrou a élargi l'éventail de ces institutions où la résidence peut conduire à des compensations de l'État français.
Selon un communiqué de Matignon, « le Premier ministre a donné son accord pour inclure 37 nouveaux lieux dans la liste des installations éligibles à une indemnisation, conformément à la loi du 23 février 2022 qui reconnaît la dette de la nation envers les harkis ». Elle pourrait impliquer « 6 000 individus de plus ».
Paris confirme avoir indemnisé plus de 25 000 harkis.
Le Premier ministre a également mis l'accent sur « l'importance de continuer le travail de réparation », alors qu'il accueillait Françoise Dumas, présidente de la Commission nationale indépendante de reconnaissance et de réparation des préjudices infligés aux harkis (CNIH).
Paris confirme avoir indemnisé plus de 25 000 harkis.
Le Premier ministre a également mis l'accent sur « l'importance de continuer le travail de réparation », alors qu'il accueillait Françoise Dumas, présidente de la Commission nationale indépendante de reconnaissance et de réparation des préjudices infligés aux harkis (CNIH).
C'est dans le rapport annuel de cette commission qu'a été suggéré d'étendre la liste des sites éligibles à l'indemnisation. Selon le gouvernement français, la Commission Nationale d'Indemnisation des Anciens Supplétifs de l'Armée Française (CNIH) a traité plus de 27 000 dossiers depuis sa fondation. On estime donc que les coûts de réparation atteignent déjà près de 176 millions d'euros.
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