Avec près de 220 millions de recettes aux Etats-Unis à ce jour, Ça est devenu le plus gros succès de l’histoire des longs-métrages sortis en septembre outre-atlantique. Ivoirematin.com par l’entremise de yahoo qui a vu le film, vous explique pourquoi ce film d’horreur suscite un tel engouement.
Une histoire culte
Avant d’être un long-métrage, Ça est un roman d’horreur de Stephen King, auteur culte du genre. Publié en 1986 et déjà adapté en téléfilm en 1990, le livre mettait en scène une bande de gamins américains confrontés à Grippe-sou, un clown maléfique gourmand d’enfants qu’il attrape en jouant sur leurs peurs les plus profondes ou basiques (ouh les sous-sols et les maisons abandonnées !).
Un Goonies horrifique
Le “Club des ratés”, nom de code de ce groupe de “losers junior” made in eighties, est hyper attachant avec sa galerie de tempéraments permettant l’identification, du petit rigolo bavard, au gosse hypocondriaque en passant par le rondouillard courageux ou encore la jolie fille en marge. Une jolie ode à l’amitié et à l’adolescence !
Un méchant super flippant
Si les clowns hérissent naturellement les poils de nombreuses personnes traumatisées par les figurines en porcelaine dans l’appartement de mamie, ce grippe-sou met la barre encore plus haut avec son sourire carnassier, ses yeux pervers et sa voix d’outre-tombe.
Une terreur immédiate
Dès la scène d’ouverture, c’est l’horreur ! Le clown carnassier embobine un petit blondinet craquant qu’il fera justement croquer sous ses dents. Exit le politiquement correct : si l’histoire met en scène des pré-ados, hémoglobine, tortures psychologiques et physiques sont bel et bien de la partie.
Des séquences frissonnantes
Sans rien spoiler du film (qui s’éloigne quelque peu du roman original, notamment dans son dénouement), instants “chair de poule” garantis grâce à un Grippe-sou qui, tel un géant vorace, surgit d’un écran ou encore grâce à une scène “geyser de sang” dans une salle de bain qui évoque Carrie.
Les autres monstres
Certes, Grippe-sou est le grand méchant loup (avec mâchoire appropriée), mais les êtres humains ne sont pas en reste côté perversité. Du papa abusif, à la maman bourrant son fiston de cachetons, les parents sont aussi monstrueux que le démon !
Une suite à prévoir
Le roman de King comportait deux parties : la première consacrée à l’enfance des personnages, la seconde à leurs vies d’adultes et à leurs retrouvailles avec Grippe-sou. Ce film ne se basant que sur le premier épisode, une suite est d’ores et déjà en chantier et le réalisateur Andy Muschietti, qui avait déjà dirigé Jessica Chastain dans Mama, a déjà fait savoir qu’il rêverait de voir la star dans la peau de Beverly, la fille du groupe.
Avec Yahoo.com
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