Les autorités doivent "pourrir les
vacances" des "voyous" impliqués dans les violences urbaines des
derniers jours, affirme mercredi la présidente LR de la région
Ile-de-France Valérie Pécresse, qui réclame un "choc d'autorité" via
notamment l'abaissement à 16 ans de la majorité pénale.
"La moyenne d'âge des centaines de personnes qui ont été arrêtées, c'est 17 ans. Le sujet aujourd'hui, c'est que nous avons une justice des mineurs qui n'est pas en capacité de juger en comparution immédiate", ni "de les mettre hors d'état de nuire", a déclaré l'ex-candidate LR à la présidentielle sur RTL.
"Il faut pourrir leurs vacances" à "tous ces casseurs, tous ces incendiaires", c'est-à-dire "les sanctionner rapidement et les éloigner de leur quartier", a déclaré l'élue de droite, redemandant de "doubler" la cinquantaine de centres fermés pour mineurs existants en France et de "baisser la majorité pénale à 16 ans".
La région Ile-de-France, la plus touchée par les émeutes avec 140 communes, "plus de cent bâtiments publics" et 400 commerces "brûlés ou saccagés", est "toujours prête à payer" pour ce doublement sur son territoire, a-t-elle souligné.
De même, Mme Pécresse réclame "une peine d'au moins un an de prison ferme obligatoire minimale" en cas d'attaque sur des "figures d'autorité".
La dirigeante de la première région de France veut également "responsabiliser" les familles de ceux qui "mettent le souk", "y compris sur les allocations familiales mais aussi sur le logement social".
"Je demande que les maires qui n'en peuvent plus puissent demander par arrêté l'expulsion d'une famille dont les enfants mettent le souk dans le quartier", a-t-elle déclaré.
Concernant le mode opératoire des auteurs de violences urbaines, Mme Pécresse dit ne pas comprendre "pourquoi on ne lève pas l'anonymat sur les réseaux sociaux" ni "pourquoi on n'instaure pas une responsabilité pénale des plateformes".
Entre la Chine où "ils contrôlent vraiment bien leurs réseaux sociaux" et la culture "totalement libertaire" des Etats-Unis, "on doit inventer un modèle européen de contrôle des réseaux sociaux qui respecte les libertés mais en même temps protège la société", a-t-elle dit.
"La moyenne d'âge des centaines de personnes qui ont été arrêtées, c'est 17 ans. Le sujet aujourd'hui, c'est que nous avons une justice des mineurs qui n'est pas en capacité de juger en comparution immédiate", ni "de les mettre hors d'état de nuire", a déclaré l'ex-candidate LR à la présidentielle sur RTL.
"Il faut pourrir leurs vacances" à "tous ces casseurs, tous ces incendiaires", c'est-à-dire "les sanctionner rapidement et les éloigner de leur quartier", a déclaré l'élue de droite, redemandant de "doubler" la cinquantaine de centres fermés pour mineurs existants en France et de "baisser la majorité pénale à 16 ans".
La région Ile-de-France, la plus touchée par les émeutes avec 140 communes, "plus de cent bâtiments publics" et 400 commerces "brûlés ou saccagés", est "toujours prête à payer" pour ce doublement sur son territoire, a-t-elle souligné.
De même, Mme Pécresse réclame "une peine d'au moins un an de prison ferme obligatoire minimale" en cas d'attaque sur des "figures d'autorité".
La dirigeante de la première région de France veut également "responsabiliser" les familles de ceux qui "mettent le souk", "y compris sur les allocations familiales mais aussi sur le logement social".
"Je demande que les maires qui n'en peuvent plus puissent demander par arrêté l'expulsion d'une famille dont les enfants mettent le souk dans le quartier", a-t-elle déclaré.
Concernant le mode opératoire des auteurs de violences urbaines, Mme Pécresse dit ne pas comprendre "pourquoi on ne lève pas l'anonymat sur les réseaux sociaux" ni "pourquoi on n'instaure pas une responsabilité pénale des plateformes".
Entre la Chine où "ils contrôlent vraiment bien leurs réseaux sociaux" et la culture "totalement libertaire" des Etats-Unis, "on doit inventer un modèle européen de contrôle des réseaux sociaux qui respecte les libertés mais en même temps protège la société", a-t-elle dit.
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