Après une semaine quotidienne après avoir été abattu par un fusil d'assaut en Pennsylvanie, l'ancien président se rend dans le Michigan, un « État pivot » qu'il avait gagné en 2016, mais que Joe Biden lui avait offert en 2020. Il se rendra dans la ville de Grand Rapids à 17 h 00 (21 h 00 GMT) avec J.D. Vance, le sénateur qu'il a sélectionné pour l'accompagner dans sa campagne pour l'élection présidentielle de novembre.
Dans cette région du Nord qui a été victime de la désindustrialisation, le républicain tentera de consolider sa base sur le terrain, à l'instar de Detroit. Son colistier, originaire de l'État voisin de l'Ohio, devrait s'impliquer dans cette démarche, se présentant comme un porte-voix de l'Amérique déclassée. Cependant, l'attention se concentrera sur le dispositif de sécurité, alors que de nombreuses interrogations demeurent concernant les infractions lors de la réunion précédente.
Après avoir grandi avec cette image de miraculé, Donald Trump est également sorti renforcé d'une convention d'investiture qui l'a vu cette semaine obtenir le soutien total du Parti républicain. Un contraste frappant avec son adversaire démocrate, le président sortant Joe Biden, qui lutte actuellement pour sa retraite politique.
La sénatrice Elizabeth Warren a exprimé samedi sur MSNBC que Joe Biden doit prendre une décision cruciale, en évoquant l'idée de son remplacement par sa vice-présidente, Kamala Harris, âgée de 59 ans, ancienne procureure générale de Californie.
Samedi matin, des centaines de militants attendent devant la salle où le candidat est attendu, dans une atmosphère joyeuse, rythmée par les chants "USA", "USA". Certains ont même campé en amont sur les lieux. Selon l'AFP, ce dont nous avons assisté samedi dernier est considéré comme un véritable miracle. Edward Young, âgé de 64 ans, a eu 81 réunions de Donald Trump au compteur.
Comme de nombreux autres participants, il arbore un tee-shirt avec l'image du milliardaire, avec son oreille en sang et son poing levé, capturée par des photographes une semaine auparavant et qui a fait le tour du globe. Ils l'ont métamorphosé en martyr et l'ont maintenu vivant. « Il est maintenant plus fort que jamais », ajoute-t-il. Il ne peut même pas être arrêté par une balle à pleine vitesse. « C'est ce que ce pays a besoin », déclare Sherri Bonoite, âgée de 75 ans, qui assiste à la première réunion de Donald Trump.
« Choix crucial »Après avoir grandi avec cette image de miraculé, Donald Trump est également sorti renforcé d'une convention d'investiture qui l'a vu cette semaine obtenir le soutien total du Parti républicain. Un contraste frappant avec son adversaire démocrate, le président sortant Joe Biden, qui lutte actuellement pour sa retraite politique.
Le démocrate de 81 ans, qui se remet en convalescence dans sa résidence privée du Delaware, ne parvient pas à faire taire les voix qui l'appellent à démissionner, en raison des interrogations lancinantes sur son état mental et sa condition physique. Le candidat a déclaré vendredi qu'il maintiendrait sa campagne la semaine prochaine, mais son ton combatif ne parvient pas à dissimuler la révolte qui se fait sentir chez des dirigeants démocrates.
Plus de trente élus l'ont demandé de manière publique de laisser la place à une ou deux jeunes candidates. Et l'homme d'affaires Michael Moritz, l'un de ses principaux donateurs, l'a demandé de se retirer et a déclaré qu'il suspendrait ses dons au parti. En conséquence, certains estiment maintenant que la question n'est plus de savoir s'il va abandonner, mais plutôt à quel moment. Et qui peut lui succéder.La sénatrice Elizabeth Warren a exprimé samedi sur MSNBC que Joe Biden doit prendre une décision cruciale, en évoquant l'idée de son remplacement par sa vice-présidente, Kamala Harris, âgée de 59 ans, ancienne procureure générale de Californie.
Elle a exprimé son espoir en déclarant que si le président Biden décide de se retirer, la vice-présidente Kamala Harris est prête à intervenir, à unir le parti, à affronter Donald Trump et à remporter la victoire en novembre.
Elle a également mentionné que si vous vous présentez contre un repris de justice, une procureure comme Kamala est réellement une personne compétente pour défendre votre cause, en référence à la condamnation de Donald Trump au pénal, une première pour un ancien président américain.
Elle a également mentionné que si vous vous présentez contre un repris de justice, une procureure comme Kamala est réellement une personne compétente pour défendre votre cause, en référence à la condamnation de Donald Trump au pénal, une première pour un ancien président américain.
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