Laquelle est entretenue par un collectif de militants Rhdp dits « des indignés » qui l’accusent ouvertement d’être « une militante de circonstance » du Rhdp qui, en réalité, joue le jeu du Pdci-Rda, son parti d’origine, dans la circonscription électorale de Diabo-Languibonou.
Face à cette accusation qui écorne son image et met en doute son militantisme avérée pour le Rhdp, Dorothée Koffi est montée au créneau pour dire sa part de vérité, face à la presse, le 29 juillet, à sa résidence de Diabo.
Dès l’entame de son propos, la députée suppléante a tenu à lever toute équivoque sur son appartenance au parti présidentiel auquel elle a adhéré par conviction. « Je suis 100% Rhdp », a martelé l’ex-présidente de l’Ufpdci (Union des femmes du Pdci-Rda) de Diabo.
Pour elle, sa fidélité au Rhdp n’est pas à marchander. « Je suis fidèle au Rhdp pour défendre ses idéaux partout où besoin se fera sentir », a-t-elle déclaré. La députée suppléante a affirmé qu’elle est victime de ses accointances avec Jacques Assahoré qui, pour elle, est le leader incontesté du Rhdp dans le canton Gblô. « Des gens tapis dans l’ombre mais que nous connaissons ne comprennent pas que Jacques Assahoré m’ait choisie comme sa suppléante. Alors, on sort mes propos de leur contexte pour me mettre en porte-à-faux avec mon leader politique », s’est-elle indignée.
En fait, pour Dorothée Koffi, des personnes de son camp politique ne comprennent pas qu’elle puisse continuer à côtoyer ses parents qui sont restés dans son ex-parti. « Il faut que je sois au quotidien avec mes adversaires politiques pour les convaincre de me rejoindre au Rhdp afin qu’ensemble, on mène le combat pour le développement de notre sous-préfecture », s’est-elle justifiée.
Tout en se réjouissant de ce que grâce à la politique du Président de la République, Alassane Ouattara et au leadership avéré de Jacques Assahoré, Diabo et Languibonou aient bénéficié, en si peu de temps, de plusieurs infrastructures de base qui ont changé leur visage.
Face à cette accusation qui écorne son image et met en doute son militantisme avérée pour le Rhdp, Dorothée Koffi est montée au créneau pour dire sa part de vérité, face à la presse, le 29 juillet, à sa résidence de Diabo.
Dès l’entame de son propos, la députée suppléante a tenu à lever toute équivoque sur son appartenance au parti présidentiel auquel elle a adhéré par conviction. « Je suis 100% Rhdp », a martelé l’ex-présidente de l’Ufpdci (Union des femmes du Pdci-Rda) de Diabo.
Pour elle, sa fidélité au Rhdp n’est pas à marchander. « Je suis fidèle au Rhdp pour défendre ses idéaux partout où besoin se fera sentir », a-t-elle déclaré. La députée suppléante a affirmé qu’elle est victime de ses accointances avec Jacques Assahoré qui, pour elle, est le leader incontesté du Rhdp dans le canton Gblô. « Des gens tapis dans l’ombre mais que nous connaissons ne comprennent pas que Jacques Assahoré m’ait choisie comme sa suppléante. Alors, on sort mes propos de leur contexte pour me mettre en porte-à-faux avec mon leader politique », s’est-elle indignée.
En fait, pour Dorothée Koffi, des personnes de son camp politique ne comprennent pas qu’elle puisse continuer à côtoyer ses parents qui sont restés dans son ex-parti. « Il faut que je sois au quotidien avec mes adversaires politiques pour les convaincre de me rejoindre au Rhdp afin qu’ensemble, on mène le combat pour le développement de notre sous-préfecture », s’est-elle justifiée.
Tout en se réjouissant de ce que grâce à la politique du Président de la République, Alassane Ouattara et au leadership avéré de Jacques Assahoré, Diabo et Languibonou aient bénéficié, en si peu de temps, de plusieurs infrastructures de base qui ont changé leur visage.
« Diabo n’est plus la même. Nous avons le bitume presque partout », s’est-elle montrée fière et plus que jamais engagée à implanter durablement le Rhdp à Diabo-Languibonou.
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