Cette nouvelle infrastructure a été inaugurée, le vendredi 18 Mars, à Doropo.
La Côte d’Ivoire vient de renforcer ses infrastructures d’accueil du bétail en provenance du Burkina Faso. Un nouveau marché à bétail vient, en effet, d’être construit, à Doropo, à la frontière Nord-Est avec le Burkina Faso.
L’infrastructure a été inaugurée, le vendredi 18 mars, en présence du Préfet du département de Doropo, Fofana Lenikpoho, du Conseiller technique, Marcel Kagnomou, représentant le ministre des ressources animales et halieutiques, Sidi Touré, des représentants du Comité inter-États de lutte contre la sécheresse au Sahel (Cilss) et de différents acteurs du secteur.
D’un coût 73 millions de Fcfa, ce nouveau a été financé par l’Union européenne, dans le cadre du projet régional de dialogue et d’investissement pour le pastoralisme et la transhumance au Sahel et dans les pays côtiers de l’Afrique de l’Ouest (Prédip).
Il s’agit d’un marché moderne, construit sur une superficie d’un ha, entièrement, avec du métal. A côté de l’ancien marché devenu vétuste. Ce nouveau marché à bétail, dispose d’un hall qui sert à la vente, de 10 boxes qui s’ouvrent chacun, sur le couloir de contention, d’un quai d’embarquement, d’un quai de débarquement, de deux bureaux, deux dortoirs, d’une douche, deux latrines et de trois Wc externes.
Au cours de la cérémonie d’inauguration, le Conseiller technique du ministre Sidi Tiémoko Touré, s’est félicité de la réalisation de cet important projet qui permettra de compter beaucoup plus facilement, les animaux présentés ou rentrés et les animaux vendus ou sortis.
D’un coût 73 millions de Fcfa, ce nouveau a été financé par l’Union européenne, dans le cadre du projet régional de dialogue et d’investissement pour le pastoralisme et la transhumance au Sahel et dans les pays côtiers de l’Afrique de l’Ouest (Prédip).
Il s’agit d’un marché moderne, construit sur une superficie d’un ha, entièrement, avec du métal. A côté de l’ancien marché devenu vétuste. Ce nouveau marché à bétail, dispose d’un hall qui sert à la vente, de 10 boxes qui s’ouvrent chacun, sur le couloir de contention, d’un quai d’embarquement, d’un quai de débarquement, de deux bureaux, deux dortoirs, d’une douche, deux latrines et de trois Wc externes.
Au cours de la cérémonie d’inauguration, le Conseiller technique du ministre Sidi Tiémoko Touré, s’est félicité de la réalisation de cet important projet qui permettra de compter beaucoup plus facilement, les animaux présentés ou rentrés et les animaux vendus ou sortis.
« Ce marché constitue une porte d’accès importante, pour le bétail en provenance du Burkina Faso. Mais aussi et surtout, l’un des plus importants marchés à bétail après celui d’Abidjan. De surcroît, il représente un pôle économique et social important pour la région », a-t-il soutenu.
Tout en félicitant le Cilss et ses partenaires pour le projet ‘’Prédip’’ il a souligné que le gouvernement ivoirien a pour sa part, initié une politique nationale de développement de l’élevage, de la pêche et de l’aquaculture sur la période 2022-2026. Laquelle se décline en 5 grands axes stratégiques, dont la stratégie nationale de production animale.
Pour sa part, Dr. Bio Goura Soulé, conseiller technique en pastoralisme et en transhumance, représentant la Cedeao, l’Uemoa et le Cilss, a indiqué que ce marché à bétail est l’un des plus animés de la Côte d’Ivoire. En effet, dira-t-il, 90% des troupeaux en provenance du Burkina Faso y sont reçus, avant d’être acheminés sur Abidjan ou dans d’autres villes. Il a également exprimé sa gratitude à l’Union européenne pour le financement de cette infrastructure, qui va contribuer à sécuriser le pastoralisme dans cette région, à renforcer la cohésion sociale au sein de la population et à faciliter l’intégration des marchés entre le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire.
Coulibaly Amadou, président de l’organisation professionnelle des éleveurs de ferkéssédougou, représentant l’Ong française ‘’Acting for Life ‘’, partenaire du projet, a indiqué que cette infrastructure permettra de sécuriser la transhumance des animaux.
Pour sa part, Dr. Bio Goura Soulé, conseiller technique en pastoralisme et en transhumance, représentant la Cedeao, l’Uemoa et le Cilss, a indiqué que ce marché à bétail est l’un des plus animés de la Côte d’Ivoire. En effet, dira-t-il, 90% des troupeaux en provenance du Burkina Faso y sont reçus, avant d’être acheminés sur Abidjan ou dans d’autres villes. Il a également exprimé sa gratitude à l’Union européenne pour le financement de cette infrastructure, qui va contribuer à sécuriser le pastoralisme dans cette région, à renforcer la cohésion sociale au sein de la population et à faciliter l’intégration des marchés entre le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire.
Coulibaly Amadou, président de l’organisation professionnelle des éleveurs de ferkéssédougou, représentant l’Ong française ‘’Acting for Life ‘’, partenaire du projet, a indiqué que cette infrastructure permettra de sécuriser la transhumance des animaux.
« En effet, note-t-il, si les animaux sont principalement produits dans les pays sahéliens, ils se rendent dans les pays côtiers en saison sèche, pour accéder aux pâturages, et cette mobilité permet de nombreuses retombées économiques pour les pays d’accueil dont la Côte d’Ivoire. Il convient juste d’investir dans des infrastructures fonctionnelles ».
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