Un calme plat règne. Les gens discutent par groupuscule de tout et de rien. Assis seul sous un parasol en train de vendre ses produits, Emmanuel Touvoli, c’est de lui qu’il s’agit un témoin oculaire de l’affrontement nous donne sa version des faits. « Ces affrontements ont commencé aux environs de 2 heures du matin jusqu’à 6 heures. Il y a eu une petite pose puis ont repris vers entre 8 et 9 hures », dit-il, précisant qu’il y a eu un mort, des blessés et des arrestations.
Toujours selon notre source, ces syndicats se sont affrontés pour le contrôle du secteur du rond-point de Samaké. Cette situation a entrainé la fermeture de certains commerces et la perturbation de la circulation à cet endroit. Il a donc fallu l’intervention des forces l’ordre pour voir le calme revenir. Les activités ont donc repris au grand dam des plus sceptiques.
L’un des protagonistes rencontré sur les lieux, en l’occurrence Koné Abdoulaye dit « le Gros », a confirmé les dires d’Emmanuel Touvoli. Avant d’indiquer qu’il est le propriétaire des lieux depuis 20 ans. « Je suis ici depuis le temps du maire Adama Toungara », dit-il. Son opposant du nom de Dieudonné, résidant à Adjamé, veut lui ravir cet endroit. « Il dit que cet endroit lui appartient. On ne peut pas être à Adjamé et contrôler Abobo », s’est-il interrogé. Puis de renchérir : « Il est passé par toutes les voies possibles, cela n’a rien donné. C’est pourquoi il est revenu aujourd’hui par la violence ».
A l’en croire, son supposé rival a armé des enfants de machettes pour les attaquer. « Ce matin nous étions à une réunion politique et c’est au sortir de la rencontre qu’ils m’ont barré la voie et m’ont roué de coups. Je suis blessé au dos, à la main et à la tête », a-t-il expliqué. Effectivement, nous avons pu vérifier les blessures, sauf qu’il a refusé que nous prenions des images.
En tout cas, lorsque nous quittions les lieux aux environs de 16 heures, les activités avaient repris, avec une forte présence des forces de l’ordre.
Toujours selon notre source, ces syndicats se sont affrontés pour le contrôle du secteur du rond-point de Samaké. Cette situation a entrainé la fermeture de certains commerces et la perturbation de la circulation à cet endroit. Il a donc fallu l’intervention des forces l’ordre pour voir le calme revenir. Les activités ont donc repris au grand dam des plus sceptiques.
L’un des protagonistes rencontré sur les lieux, en l’occurrence Koné Abdoulaye dit « le Gros », a confirmé les dires d’Emmanuel Touvoli. Avant d’indiquer qu’il est le propriétaire des lieux depuis 20 ans. « Je suis ici depuis le temps du maire Adama Toungara », dit-il. Son opposant du nom de Dieudonné, résidant à Adjamé, veut lui ravir cet endroit. « Il dit que cet endroit lui appartient. On ne peut pas être à Adjamé et contrôler Abobo », s’est-il interrogé. Puis de renchérir : « Il est passé par toutes les voies possibles, cela n’a rien donné. C’est pourquoi il est revenu aujourd’hui par la violence ».
A l’en croire, son supposé rival a armé des enfants de machettes pour les attaquer. « Ce matin nous étions à une réunion politique et c’est au sortir de la rencontre qu’ils m’ont barré la voie et m’ont roué de coups. Je suis blessé au dos, à la main et à la tête », a-t-il expliqué. Effectivement, nous avons pu vérifier les blessures, sauf qu’il a refusé que nous prenions des images.
En tout cas, lorsque nous quittions les lieux aux environs de 16 heures, les activités avaient repris, avec une forte présence des forces de l’ordre.
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