L’ébullition est montée d’un cran en cette veille du nouvel an dans la commune d’Adjamé avec ces grands espaces commerciaux et son mythique Boulevard Nangui Abrogoua qui drainent du monde. Pour veiller à la libre circulation des personnes et des biens, et faire face à l’insécurité dans cette circonscription qui représente la plus ancienne souche abidjanaise, le dispositif sécuritaire a été renforcé.
Plusieurs unités des forces de l’ordre sillonnent les différentes artères de la commune. Allant de la Liberté au Forum des marchés, en passant par la Renault, le marché gouro jusqu’au mythique ‘’Black Market’’. En patrouilles d’amont en aval, des unités de police ne désemplissent pas les rues, prêtes à intervenir à la moindre irrégularité. D’autres sont postées en mode sédentaire selon un système de sécurité bien établi, à l’image de celui du boulevard Nangui Abrogoua, l’un des plus fréquentés et animés d’Abidjan.
« L’artère a fait l’objet d’un morcellement sécuritaire de cinq grandes zones, du chemin de fer de la Régie Abidjan-Niger (RAN), à la Mairie de la commune. A chaque zone est affectée une unité composée de 20 agents de police, soit un total de 100 éléments, pour cet espace. La première zone s’étendant de la RAN à la mosquée, la deuxième de la mosquée à Roxy, la troisième de Roxy au Centre Antituberculeux (CAT), la quatrième du CAT au carrefour dit 3ème et la dernière zone, de ce carrefour à la mairie d’Adjamé », a-t-on appris de sources sécuritaires.
Un système sécuritaire qui existe depuis deux ans et quatre mois, et qui a été réactivé depuis le début du mois de novembre 2021 en prélude aux fêtes de fin d’année.
Quelques cas de vol isolés
Malgré la forte présence des hommes en tenue, des plaintes relevant de cas de vol liées à la viscosité de la circulation routière, persistent.
« Tout est bondé, il y-a plein d’embouteillages, on ne peut pas circuler librement. C’est en fait fatiguant de faire des courses en pareilles circonstances. On se fait souvent voler dans cette atmosphère, à travers les frottements dus à la forte affluence humaine ». s’est indignée Désirée Armande Yapi, une étudiante, qui y était pour ses courses.
Un agent de police a tout de même reconnu des cas de vol isolés qui échappent à la vigilance parce qu’en plein cœur d’une masse touffue. Ces indélicatesses se font de façon subtile par les malfrats qui prennent le soin de ne pas attirer l’attention. Il rassure que tout est garanti en termes de sécurité afin de permettre aux citoyens de vaquer librement à leurs occupations.
Plusieurs unités des forces de l’ordre sillonnent les différentes artères de la commune. Allant de la Liberté au Forum des marchés, en passant par la Renault, le marché gouro jusqu’au mythique ‘’Black Market’’. En patrouilles d’amont en aval, des unités de police ne désemplissent pas les rues, prêtes à intervenir à la moindre irrégularité. D’autres sont postées en mode sédentaire selon un système de sécurité bien établi, à l’image de celui du boulevard Nangui Abrogoua, l’un des plus fréquentés et animés d’Abidjan.
« L’artère a fait l’objet d’un morcellement sécuritaire de cinq grandes zones, du chemin de fer de la Régie Abidjan-Niger (RAN), à la Mairie de la commune. A chaque zone est affectée une unité composée de 20 agents de police, soit un total de 100 éléments, pour cet espace. La première zone s’étendant de la RAN à la mosquée, la deuxième de la mosquée à Roxy, la troisième de Roxy au Centre Antituberculeux (CAT), la quatrième du CAT au carrefour dit 3ème et la dernière zone, de ce carrefour à la mairie d’Adjamé », a-t-on appris de sources sécuritaires.
Un système sécuritaire qui existe depuis deux ans et quatre mois, et qui a été réactivé depuis le début du mois de novembre 2021 en prélude aux fêtes de fin d’année.
Quelques cas de vol isolés
Malgré la forte présence des hommes en tenue, des plaintes relevant de cas de vol liées à la viscosité de la circulation routière, persistent.
« Tout est bondé, il y-a plein d’embouteillages, on ne peut pas circuler librement. C’est en fait fatiguant de faire des courses en pareilles circonstances. On se fait souvent voler dans cette atmosphère, à travers les frottements dus à la forte affluence humaine ». s’est indignée Désirée Armande Yapi, une étudiante, qui y était pour ses courses.
Un agent de police a tout de même reconnu des cas de vol isolés qui échappent à la vigilance parce qu’en plein cœur d’une masse touffue. Ces indélicatesses se font de façon subtile par les malfrats qui prennent le soin de ne pas attirer l’attention. Il rassure que tout est garanti en termes de sécurité afin de permettre aux citoyens de vaquer librement à leurs occupations.
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