L’objectif de ce séminaire est de renforcer les compétences des magistrats issus de la juridiction d’appel d’Abidjan sur les consignes de poursuite, de jugement, d’enseignement et de défense des présumés auteurs de crimes internationaux.
Le sous-directeur à la direction des affaires civiles et pénales, Brou Kouamé Josué, représentant le Garde des sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’homme, Sansan Kambilé, a félicité l’Oidh pour sa contribution constante au renforcement de l’Etat de droit en Côte d’Ivoire. « Nous participons au présent atelier pour renforcer nos connaissances et compétences dans la quête de la justice internationale. Les crimes internationaux représentent une grave menace sur la paix mondiale, et c’est notre devoir en tant que magistrats de comprendre, poursuivre et juger ces actes graves qui dépassent les frontières nationales », a déclaré le magistrat.
Selon lui, cette formation vise à approfondir les connaissances des magistrats des normes juridiques internationales, les mécanismes de poursuite et des défis spécifiques auxquels les magistrats peuvent être confrontés dans la quête de justice. « Cette formation reflète notre engagement collectif envers l’établissement d’un monde où l’impunité n’a pas sa place. En collaborant, en partageant nos expériences et en assimilant les dernières avancées juridiques, nous contribuons à renforcer l’efficacité de notre appareil judiciaire », a poursuivi le représentant du ministre de la Justice et des Droits de l’homme.
C’est pourquoi, il encourage les participants à tirer pleinement partie de cette opportunité de renforcement de capacités, à participer activement aux discussions et à forger les liens qui perdureront au-delà de cette rencontre. « Ayons surtout à l’esprit que la Côte d’Ivoire, à l’instar des autres pays, n’est pas à l’abri de ces faits gravissimes que sont les crimes internationaux », fait-il savoir.
Selon lui, cette formation vise à approfondir les connaissances des magistrats des normes juridiques internationales, les mécanismes de poursuite et des défis spécifiques auxquels les magistrats peuvent être confrontés dans la quête de justice. « Cette formation reflète notre engagement collectif envers l’établissement d’un monde où l’impunité n’a pas sa place. En collaborant, en partageant nos expériences et en assimilant les dernières avancées juridiques, nous contribuons à renforcer l’efficacité de notre appareil judiciaire », a poursuivi le représentant du ministre de la Justice et des Droits de l’homme.
C’est pourquoi, il encourage les participants à tirer pleinement partie de cette opportunité de renforcement de capacités, à participer activement aux discussions et à forger les liens qui perdureront au-delà de cette rencontre. « Ayons surtout à l’esprit que la Côte d’Ivoire, à l’instar des autres pays, n’est pas à l’abri de ces faits gravissimes que sont les crimes internationaux », fait-il savoir.
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