En effet, la carence en vitamine A et en fer constitue des problèmes majeurs de santé publique qui, selon ledit programme, ont un impact négatif sur le développement socio-économique et sur la morbidité chez l’enfant de 0 à 5 ans. Elle permet de prévenir et d’atténuer la gravité de nombreuses infections en renforçant le système immunitaire.
« Elle réduit environ 23 à 30 % de la mortalité infantile, de 50 % le nombre de décès dus à la rougeole et de 40 % ceux dus à la diarrhée. La carence en fer, responsable d’anémie, est le plus souvent provoquée par les vers hématophages », explique Dr Kouamé Oka René, directeur-coordonnateur du Programme national de nutrition.
Ces interventions se font lors des campagnes de masse avec un objectif de couverture d’au moins 95 % du territoire national.
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