Le Festival des musiques urbaines d'Anoumabo (Femua) est désormais
inscrit dans les lignes budgétaires de l’Etat de Côte d’Ivoire.
L’information a été donnée par Traoré Salif dit A’Salfo, lead vocal du
groupe Magic System, lors du lancement de la 15e édition de l'événement
qui se tiendra du 25 mars au 30 avril 2023, à Abidjan et à Bouaké.
C'était le jeudi 16 février 2023, à la salle des fêtes du Sofitel
Abidjan Hôtel Ivoire.
« Je dis merci au Président Alassane Ouattara d’avoir accepté d'inscrire le Femua dans les lignes budgétaires de l’Etat. Je veux lui dire merci d’avoir compris que la culture est un pilier de développement pour tous pays », a déclaré le commissaire général du festival, A'salfo.
Le Gaou magicien a aussi tenu à rendre hommage à la Première dame de Côte d'Ivoire, Dominique Ouattara, par ailleurs présidente de la cérémonie qui, selon lui, l’a inspiré à mettre sur pied le Femua. Il y a 20 ans en arrière à Washington, aux Usa, que la Première dame lui avait donné le secret qui lui permet à elle-même de faire le bien sans rien attendre en retour.
Selon l’enfant d'Anoumabo, la fondatrice de Children of Africa lui a indiqué qu’en faisant le bien, l’on obtient toujours en retour une chose qui n’a pas de prix. Le disant, le président de la Fondation Magic System a relevé que l’épouse du Chef de l’Etat faisait allusion au sourire et au bonheur qui se lisent chaque fois sur les visages des personnes à qui le bien profite.
« Je suis sorti de cette rencontre avec le sentiment que j’avais des choses à faire. Moi qui ai grandi avec le groupe Magic System dans une contrée comme Anoumabo. Nous avions besoin de regarder dans le rétroviseur pour partager ce petit bonheur », a-t-il estimé. Puis d'ajouter : « J’ai insisté pour que vous veniez, afin que vous voyiez où ce petit message nous a conduits. Vous êtes aujourd’hui à la 15e édition de l’un des festivals, les plus grands d’Afrique et c’est grâce à ce petit conseil de Washington ».
A'salfo a aussi honoré la mémoire des deux anciens Premiers ministres décédés, à savoir Hamed Bakayoko et Amadou Gon Coulibaly qui, a-t-il soutenu, ont participé au développement et à l'ascension du Femua.
Pour le premier cité parce qu’il a cru et s'est investi dès les premières heures du festival. Et le second parce qu’il a été, à en croire Traoré Salif, celui qui a plaidé auprès du Chef de l’Etat pour que le festival puisse être inscrit dans les lignes budgétaires de l'Etat.
« Je dis merci au Président Alassane Ouattara d’avoir accepté d'inscrire le Femua dans les lignes budgétaires de l’Etat. Je veux lui dire merci d’avoir compris que la culture est un pilier de développement pour tous pays », a déclaré le commissaire général du festival, A'salfo.
Le Gaou magicien a aussi tenu à rendre hommage à la Première dame de Côte d'Ivoire, Dominique Ouattara, par ailleurs présidente de la cérémonie qui, selon lui, l’a inspiré à mettre sur pied le Femua. Il y a 20 ans en arrière à Washington, aux Usa, que la Première dame lui avait donné le secret qui lui permet à elle-même de faire le bien sans rien attendre en retour.
Selon l’enfant d'Anoumabo, la fondatrice de Children of Africa lui a indiqué qu’en faisant le bien, l’on obtient toujours en retour une chose qui n’a pas de prix. Le disant, le président de la Fondation Magic System a relevé que l’épouse du Chef de l’Etat faisait allusion au sourire et au bonheur qui se lisent chaque fois sur les visages des personnes à qui le bien profite.
« Je suis sorti de cette rencontre avec le sentiment que j’avais des choses à faire. Moi qui ai grandi avec le groupe Magic System dans une contrée comme Anoumabo. Nous avions besoin de regarder dans le rétroviseur pour partager ce petit bonheur », a-t-il estimé. Puis d'ajouter : « J’ai insisté pour que vous veniez, afin que vous voyiez où ce petit message nous a conduits. Vous êtes aujourd’hui à la 15e édition de l’un des festivals, les plus grands d’Afrique et c’est grâce à ce petit conseil de Washington ».
A'salfo a aussi honoré la mémoire des deux anciens Premiers ministres décédés, à savoir Hamed Bakayoko et Amadou Gon Coulibaly qui, a-t-il soutenu, ont participé au développement et à l'ascension du Femua.
Pour le premier cité parce qu’il a cru et s'est investi dès les premières heures du festival. Et le second parce qu’il a été, à en croire Traoré Salif, celui qui a plaidé auprès du Chef de l’Etat pour que le festival puisse être inscrit dans les lignes budgétaires de l'Etat.
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