EsteCapelli, une clinique turque spécialisée dans la greffe capillaire est installée en Côte d’ivoire depuis le mois de mai 2021 en Côte d’Ivoire, a annoncé son directeur médical et fondateur Mehmet Hanifi Kutlar.
«Nous sommes une clinique turque qui fait du tourisme médical mais principalement à Abidjan nous faisons la greffe des cheveux », a déclaré M. Mehmet ajoutant que EsteCapelli est également présente à travers le monde notamment au Kossovo, en Bosnie, en Albanie et en Turquie avant la Côte d’ivoire.
Il explique le choix du marché ivoirien par l'exode massive de personnes vivant en Côte d’Ivoire vers la Turquie pour des greffes capillaires.
« Nous avons décidé d’exporter cette technologie en Côte d’Ivoire pour être plus proches des personnes désireuses d’une transplantation capillaire. Chaque année, de nombreuses personnes partent en Turquie pour se faire transplanter », a-t-il confié.
Installée à Abidjan en Zone 4, Este Cappelli, selon son directeur médical, accueille mensuellement une cinquantaine de patients depuis son ouverture et assure que le taux de succès des interventions est de 100%.
La plupart de ses clients sont les femmes qui « ne sont pas satisfaites de leur coupe de cheveux » mais aussi des hommes chauves ou imberbes.
L’équipe médical vient de la Turquie avec une technologie de pointe également importée qui travaille sur place avec un partenaire, le centre médico biologique Fleming.
« Par conséquent, nous garantissons, nos interventions dans un délai très court ( en moyenne 6 heures) à un coût très compétitif », assure-t-il.
Actuellement, les consultations se font gratuitement à Este Capelli, en raison d’une campagne promotionnelle et seule l’intervention chirurgicale est payante.
La greffe capillaire consiste à prélever les cheveux dans la partie de la couronne arrière de la tête ( la nuque) où généralement ils ne tombent quasiment jamais pour les réimplanter vers l’avant dans la région du front et de la tonsure.
Dans le domaine, la technologie turque est très prisée sur le marché mondial.
A.
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