JIF 2023 / Mme Bédié dénonce les violences sur des femmes africaines

Pour célébrer cette Journée internationale des droits de la femme, la Fondation "Servir" a, hier, à la résidence du président Bédié, réuni autour de sa présidente, Mme Henriette Bédié les femmes de toutes les couches sociales. 

Il s’agit des femmes de Grand-Bassam (les sœurs de maman Diplo), du marché Gouro d’Adjamé, du marché Cocovico, du PDCI-RDA et des balayeuses.

 A côté d’elles, des cheffes d’entreprises, des leaders d’opinion et des cadres de l’Administration publique et privée. Devant toutes ces personnalités, Mme Henriette Bédié,qui avait à ses côtés son président délégué, Amoikon Banga,a dénoncé les violences dont sont l’objet les ressortissants de l’Afrique Subsaharienne en général et les femmes à l’honneur aujourd’hui en particulier en Tunisie. 

« Je souhaiterais exprimer ma désolation face à une situation où, encore une fois de plus, des femmes sont privées de leurs droits. Des femmes sont rentrées de Tunisie traumatisées par une malheureuse mésaventure », a-t-elle fait remarquer. 

Pour le reste, la présidente de la Fondation "Servir" a appelé la femme à jouer son rôle. « Face aux nombreux défis sur l’évolution du monde au plan des droits humains, l’on comprend que toute femme doit pouvoir jouer davantage son rôle (…) Nous devons être sensibles à tout et agir avec amour et compassion », a recommandé Mme Henriette Bédié. 

Elle a, par la suite, invité les femmes à s’engager auprès de leurs époux et de leurs enfants pour la promotion de la culture du droit. Mais aussi pour la paix et la cohésion sociale. 

Après ces mots d’encouragement, la présidente de la Fondation "Servir" a honoré plusieurs femmes qui se distinguent, chacune dans son secteur d’activité. 

Elle-même pour ses actions humanitaires, a été invitée à Paris pour prendre part à une cérémonie organisée par une structure de développement La cérémonie a pris fin par un concours de la femme bien habillée, remporté par les femmes de Cocovico (coopérative). 

Celui de danse par les femmes du marché Gouro d’Adjamé.