La Côte d’Ivoire et le fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) examinent depuis lundi 17 octobre 2022 à Yamoussoukro la progression des indicateurs qu’ils se sont assignés dans la mise en œuvre du 8ème programme de coopération (CP8).
Cette revue annuelle qui va durer jusqu’au 21 octobre vise à dégager des perspectives d’accélération pour les années à venir du CP8, un programme qui intègre les priorités définies dans le plan national de développement (PND) et les engagements internationaux de la Côte d’Ivoire en vue de l’atteinte des objectifs du développement Durable (ODD) notamment en matière de santé, de réduction des inégalités et de partenariat.
La représentante résidente de l’UNFPA, Cécile Compaoré Zoungrana a rappelé que ces perspectives doivent être dégagées dans le but « d’accroitre l’accès universel aux services de santé sexuelle et reproductive, le développement du potentiel des jeunes et la réduction des inégalités liées au genre, à travers les trois résultats transformateurs que l’UNFPA s’est fixés comme contribution aux ODD d’ici 2030 à savoir ».
Il s’agit notamment de mettre fin aux décès maternels évitables, mettre fin aux besoins non satisfaits en planification familiale, mettre fin aux violences basées sur le genre et pratiques néfastes, y compris le mariage des enfants et les mutilations génitales féminines.
« Les attentes sont énormes et nous devons user de stratégies et politique adaptés pour nous distinguer à travers des interventions à haut impact capables de transformer nos sociétés », a souligné Cécile Zoungrana.
Au total cinq modes d’engagement dont le plaidoyer et le dialogue politique, l’offre de services et la gestion des connaissances vont orienter les travaux de cet atelier.
Le CP8 qui entame sa troisième année de mise en œuvre couvre la période 2021/2025.
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