Depuis quelques jours, le Général Makosso fait sensation sur la toile avec le témoignage poignant de son passé sur les réseaux sociaux. Fier du passage de sa fille Kim Makosso au PRIMUD 2021, le père de la « marmaille » est revenu sur les jours sombres de la naissance de cette dernière. Un récit qui a laissé plus d’un sous le choc.
Dimanche 14 novembre dernier, se tenait la soirée de distinction des Prix international des musiques urbaines et du Coupé décalé (Primud) . Soirée au cours de laquelle, ont brillé plusieurs stars du monde du showbiz et les filles aîné et cadette du Général Makosso.
Fier de la prestation de sa fille Kim, ayant récolté beaucoup d’acclamations, Makosso a tenu a faire un feed-back sur la naissance de celle qui fait sa grande fierté aujourd’hui, d’après ses dires.
« Ma 1ere fille est ma fille de ma souffrance. Vivant à ABOBO Agnissankoi dans la misère. Juste 7.500F CFA dans ma poche le jour de son accouchement soit autour de 13 EURO. Vu qu’on avait rien, ni seaux de bébé, ni couche, nous étions maman et moi obligés d’aller vivre dans le studio de nos filles spirituelles qui étaient déjà 04 dans le petit studio avec 03 nouveaux arrivant. Ma fille un jour me fixait car on n’avait plus de lait pour son biberon et rien qu’à m’en souvenir mes larmes reviennent.
Cette nuit j’ai pleuré en criant dehors en pleine nuit comme un chien enragé tellement que j’avais mal pour ma fille. Obligé de supplier, marcher des kilomètres pour aller prier pour des fidèles et au lieu de prendre le taxi je préférais marcher pour utiliser le transport pour acheter le lait. Très intelligente, mais aussi très fragile et encore très affectée par le départ de sa jumelle maman, sa confidente. Je me dois de lui accorder 04 fois plus d’attention car c’est elle la grande sœur », a relaté avec beaucoup de mélancolie et surtout de fierté le Général Makosso.
Puis Makosso de louer les prouesses de sa fille. « Elle est maternelle vis-à-vis des autres, mais a besoin de plus d’attentions car elle est la plus affectée des enfants à vu d’œil. A presque 18 ans elle ne peu pas demander quelque chose et lui dire non car je suis l’employé de mes enfants. Tout leur appartient et même ma vie. Souvent très autoritaire, c’est elle la patronne de la maison.
C’est elle qui embauche et c’est elle qui vire sans même demander mon opinion. Très intelligente comme maman Tati, elle a tout pris de maman: douceur, Gentillesse, écoute. C’est ma première fille et c’est elle qui m’a fait comprendre que la vie n’est pas un jeu. Ses désirs sont des ordres, car un père vit pour ses enfants. Chaque jour quand je la regarde je vois maman dans ses yeux et ses actes ».
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