Le directeur de Cabinet du ministre
délégué auprès du ministère d’Etat, ministère des Affaires étrangères,
de l’Intégration africaine et de la Diaspora, Pr Wautabouna
Ouattara, a présidé la cérémonie d’ouverture d’un atelier de validation
de l’actualisation de la Stratégie nationale de mise en œuvre de
l’Accord de partenariat économique intérimaire (Sn Apei). C’était ce
mercredi 25 janvier 2023, au Pôle scientifique et d’innovation sis à
Bingerville.
Pour le directeur de Cabinet, l’objectif de cet atelier est d’examiner et de valider le document portant Stratégie nationale de mise en œuvre de l’Apei (Accord de partenariat économique intérimaire), tout en assurant l’implication de l’ensemble des parties prenantes.
En clair, il s’agit de faire valider par les parties prenantes (ministères techniques, société civile, secteur privé...) la vision, l’objectif général, les objectifs spécifiques et les axes stratégiques de la Sn Apei, finaliser et valider le plan d’actions détaillé, valider le dispositif opérationnel de suivi-évaluation.
Roxana Toran Villarroya, attachée de coopération à la Délégation de l’Union européenne en Côte d’Ivoire, se réjouit de l’initiative du gouvernement ivoirien à actualiser sa stratégie nationale. Selon elle, cet accord intérimaire permet à la Côte d’Ivoire de continuer à avoir accès au marché européen sans s’acquitter de frais de douanes pour l’exportation de ses produits.
Roxana Toran Villarroya ajoute également qu’actuellement environ 2000 produits provenant de l'Ue peuvent être importés sans droits de douanes. La Côte d’Ivoire, dit-elle, est ainsi le tout premier pays d’Afrique de l’Ouest à « appliquer la réciprocité » dans le cadre d’un Apei avec l’Ue.
Une raison supplémentaire pour laquelle l’Ue, poursuit-elle, s’est engagée à accompagner les efforts du gouvernement ivoirien. Elle espère que la validation de ce document de Stratégie nationale de mise en œuvre de l’Apei se traduira par « une augmentation des échanges commerciaux et un partenariat encore plus renforcé avec l’Ue ».
L’attachée de coopération précise que l’Union européenne est le premier partenaire économique et commercial de la Côte d’Ivoire. Elle représente à ce titre « 58% des investissements directs étrangers ». L’Union européenne est aussi le premier client de la Côte d'Ivoire dont « 40% de ses exportations » sont destinés au marché européen. Elle est par ailleurs le premier fournisseur avec « 32% des importations de la Côte d’Ivoire ».
Bien qu’assortie d’un mécanisme de coordination et de suivi-évaluation, il faut le rappeler, la stratégie nationale de mise en œuvre de l’Apei enregistrait quelques limites. Pour pallier cela, le Projet d’appui à la mise en œuvre de l’accord de partenariat économique intérimaire en Côte d’Ivoire (Pape) s’est engagé à l’actualisation de la Stratégie nationale-Apei.
Au dire du Pr Wautabouna Ouattara, la Côte d’Ivoire a ratifié l’Apei en 2016 et a commencé sa mise en œuvre depuis le 1er janvier 2019.
Pour le directeur de Cabinet, l’objectif de cet atelier est d’examiner et de valider le document portant Stratégie nationale de mise en œuvre de l’Apei (Accord de partenariat économique intérimaire), tout en assurant l’implication de l’ensemble des parties prenantes.
En clair, il s’agit de faire valider par les parties prenantes (ministères techniques, société civile, secteur privé...) la vision, l’objectif général, les objectifs spécifiques et les axes stratégiques de la Sn Apei, finaliser et valider le plan d’actions détaillé, valider le dispositif opérationnel de suivi-évaluation.
Roxana Toran Villarroya, attachée de coopération à la Délégation de l’Union européenne en Côte d’Ivoire, se réjouit de l’initiative du gouvernement ivoirien à actualiser sa stratégie nationale. Selon elle, cet accord intérimaire permet à la Côte d’Ivoire de continuer à avoir accès au marché européen sans s’acquitter de frais de douanes pour l’exportation de ses produits.
Roxana Toran Villarroya ajoute également qu’actuellement environ 2000 produits provenant de l'Ue peuvent être importés sans droits de douanes. La Côte d’Ivoire, dit-elle, est ainsi le tout premier pays d’Afrique de l’Ouest à « appliquer la réciprocité » dans le cadre d’un Apei avec l’Ue.
Une raison supplémentaire pour laquelle l’Ue, poursuit-elle, s’est engagée à accompagner les efforts du gouvernement ivoirien. Elle espère que la validation de ce document de Stratégie nationale de mise en œuvre de l’Apei se traduira par « une augmentation des échanges commerciaux et un partenariat encore plus renforcé avec l’Ue ».
L’attachée de coopération précise que l’Union européenne est le premier partenaire économique et commercial de la Côte d’Ivoire. Elle représente à ce titre « 58% des investissements directs étrangers ». L’Union européenne est aussi le premier client de la Côte d'Ivoire dont « 40% de ses exportations » sont destinés au marché européen. Elle est par ailleurs le premier fournisseur avec « 32% des importations de la Côte d’Ivoire ».
Bien qu’assortie d’un mécanisme de coordination et de suivi-évaluation, il faut le rappeler, la stratégie nationale de mise en œuvre de l’Apei enregistrait quelques limites. Pour pallier cela, le Projet d’appui à la mise en œuvre de l’accord de partenariat économique intérimaire en Côte d’Ivoire (Pape) s’est engagé à l’actualisation de la Stratégie nationale-Apei.
Au dire du Pr Wautabouna Ouattara, la Côte d’Ivoire a ratifié l’Apei en 2016 et a commencé sa mise en œuvre depuis le 1er janvier 2019.
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