A la Cité universitaire du campus de Cocody, de nombreux étudiants y sont restés pour y célébrer la Noël. Dans chacune des chambres, ils créent une ambiance familiale.
Noël est la fête chrétienne qui célèbre la Nativité, c'est-à-dire la célébration qui rappelle la naissance de Jésus-Christ. C’est aussi une fête qui se célèbre en famille. Malheureusement beaucoup de personnes la célèbre loin de leurs parents. Dion Denis a bien constaté ce que la plupart des étudiants de la cité universitaire du campus de Cocody ressentent à l’approche des fêtes de fin d’année.
En effet, étudiant en première année de droit, c’est la première fois qu’il passe Noël loin de sa famille à Man. Yapo Olivia, une étudiante en deuxième année d’anglais et Konaté Nadège en master de géographie. « Nous sommes quatre étudiantes dans notre chambre mais pour les congés, beaucoup sont partis retrouver leurs proches» explique Konaté.
« Nous avons bien passé la soirée du 24 décembre et le 25 décembre ensemble. On a partagé un bon repas autour d’un pot, notamment du vin, de la bière, de la liqueur, etc. Tout s’est très bien passé. Ici nous créons l’ambiance familiale », témoigne Archimède Koua étudiant en master d’anglais.
A la cité Mermoz de cocody, l’enthousiasme des résidents
A côté, la cité Mermoz est toute lumineuse. A l’intérieur d’une chambre, Ekra Louise et Goussey Loraine ont, elles aussi, passé la Noël loin de leur famille. Mais pas de signe de tristesse sur leur visage. «En fait, ma famille m’a envoyé un peu de sou du fait que je ne pourrai pas les rejoindre pour fêter », s’est réjouie Ekra Louise, étudiante en cinéma. «Je voulais partir, cependant les parents m’ont demandé de rester. Je me sens mieux ici », a renchéri Goussey Loraine. «Nous nous sommes bien amusées, le 24 décembre et le 25 c’était déjà génial »; ajoute-t-elle.
Dans une chambre, l’on peut apercevoir un brassage des ethnies originaires d’une région et à une autre et d’une ville à une autre. Ainsi, une grande partie des étudiants qui habitent cette cité sont resté pour fêter. « C’était très chaleureux malgré que nous n’avons pu effectuer le déplacement vers nos familles pour partager ce moment qui marque la naissance du Christ. Moi par exemple j’ai fait tchêp au poulet, un peu de frite et de l'alloco. Le tout accompagné de bière et de la sucrerie... », confie Ekra-Louise.
Si certains affichent leur joie et sentiment de fêter loin des familles, d'autres par contre estiment que la fête en cité est rébarbative, repoussante.
« C’est un peu paradoxal et repoussant de passer Noël loin de sa famille surtout que les conditions ne sont pas réunies. La cité n’est plus vivante quand les fêtes approchent, beaucoup sont partis. C’est préférable de la faire à leur côté », ont expliqué Kouadio Célestin et Doué Lucien respectivement étudiants en licence de biologie et lettres modernes.
En effet, étudiant en première année de droit, c’est la première fois qu’il passe Noël loin de sa famille à Man. Yapo Olivia, une étudiante en deuxième année d’anglais et Konaté Nadège en master de géographie. « Nous sommes quatre étudiantes dans notre chambre mais pour les congés, beaucoup sont partis retrouver leurs proches» explique Konaté.
« Nous avons bien passé la soirée du 24 décembre et le 25 décembre ensemble. On a partagé un bon repas autour d’un pot, notamment du vin, de la bière, de la liqueur, etc. Tout s’est très bien passé. Ici nous créons l’ambiance familiale », témoigne Archimède Koua étudiant en master d’anglais.
A la cité Mermoz de cocody, l’enthousiasme des résidents
A côté, la cité Mermoz est toute lumineuse. A l’intérieur d’une chambre, Ekra Louise et Goussey Loraine ont, elles aussi, passé la Noël loin de leur famille. Mais pas de signe de tristesse sur leur visage. «En fait, ma famille m’a envoyé un peu de sou du fait que je ne pourrai pas les rejoindre pour fêter », s’est réjouie Ekra Louise, étudiante en cinéma. «Je voulais partir, cependant les parents m’ont demandé de rester. Je me sens mieux ici », a renchéri Goussey Loraine. «Nous nous sommes bien amusées, le 24 décembre et le 25 c’était déjà génial »; ajoute-t-elle.
Dans une chambre, l’on peut apercevoir un brassage des ethnies originaires d’une région et à une autre et d’une ville à une autre. Ainsi, une grande partie des étudiants qui habitent cette cité sont resté pour fêter. « C’était très chaleureux malgré que nous n’avons pu effectuer le déplacement vers nos familles pour partager ce moment qui marque la naissance du Christ. Moi par exemple j’ai fait tchêp au poulet, un peu de frite et de l'alloco. Le tout accompagné de bière et de la sucrerie... », confie Ekra-Louise.
Si certains affichent leur joie et sentiment de fêter loin des familles, d'autres par contre estiment que la fête en cité est rébarbative, repoussante.
« C’est un peu paradoxal et repoussant de passer Noël loin de sa famille surtout que les conditions ne sont pas réunies. La cité n’est plus vivante quand les fêtes approchent, beaucoup sont partis. C’est préférable de la faire à leur côté », ont expliqué Kouadio Célestin et Doué Lucien respectivement étudiants en licence de biologie et lettres modernes.
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