L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao) a invité, jeudi, les Etats africains à augmenter leurs budgets d’investissement agricoles, afin de renforcer leur résilience en matière de nutrition et de sécurité alimentaire.
L’appel a été lancé, le 8 décembre dernier, lors d’une réunion de haut niveau sur l’année africaine de la nutrition, organisée au Sofitel Hôtel Ivoire, sur le thème ” Renforcer la résilience en matière de nutrition et de sécurité alimentaire sur le continent africain ”. Selon son directeur régional pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel, par ailleurs, représentant résident de l’Institution au Sénégal, Dr Gouantoueu Robert Guéi, la Côte d’Ivoire est déjà sur la bonne voie.
« Au niveau du riz, la Côte d’Ivoire fait beaucoup déjà avec l’Agence pour le Développement de la filière Riz (Aderiz) et le ministère de l’Agriculture. Sur la mécanisation, avec l’aide de certains partenaires, la Côte d’Ivoire veut même fabriquer sur place des tracteurs. Elle a décidé de mettre en place des agropoles qui sont des pôles de développement de l’agriculture et qui vont mettre en rapport les productions agricoles et l’industrialisation. A l’instar du cacao et du café, avec les agropoles, toutes les filières vivrières comme le riz, le manioc, la banane plantain, l’igname, etc. vont être intégrées et transformées », a-t-il soutenu. Ajoutant que la Fao accompagnera également le gouvernement ivoirien dans le développement de la pêche, de l’aquaculture.
Pour le représentant de la Fao, la Côte d’Ivoire, à défaut d’être autosuffisante dans tous les produits agricoles, est bien partie pour atteindre la souveraineté alimentaire. C’est-à-dire produire localement à tout moment, de façon stable et durable, ce qu’on doit consommer ; et consommer local).
Il a appelé les autres Etats africains à faire en sorte que l’agriculture soit diversifiée (élevage, pêche, aquaculture, légume, fruits, lait, etc.).
Pour le représentant de la Fao, la Côte d’Ivoire, à défaut d’être autosuffisante dans tous les produits agricoles, est bien partie pour atteindre la souveraineté alimentaire. C’est-à-dire produire localement à tout moment, de façon stable et durable, ce qu’on doit consommer ; et consommer local).
Il a appelé les autres Etats africains à faire en sorte que l’agriculture soit diversifiée (élevage, pêche, aquaculture, légume, fruits, lait, etc.).
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