Président de la Fédération ivoirienne d’équitation (Fie) depuis le 19 novembre 2017, Stéphane Joseph Ouégnin est un passionné du cheval. Un fan de l’animal, surtout en tant que compagnon sportif de l’homme dans le cadre des sports équestres.
« Mon ambition est de faire en sorte que l’équitation devienne un sport populaire dans mon pays. Je ne l'exige pas, mais parce que ce sport est ma passion et procure du bien-être aux êtres humains que nous sommes. Vous n’imaginez pas la joie, les émotions que monter à cheval peut vous procurer », aime-t-il à répéter.
L’autre bataille de Stéphane Ouégnin, c’est que pour lui, le cheval est un vecteur d’emploi. « Beaucoup de jeunes ivoiriens peuvent sortir du chômage grâce à l’équitation, qui englobe en même temps le sport, le commerce, l’industrie, la culture, le tourisme et bien d’autres secteurs », dit-il.
Pour se donner les moyens de sa politique, le président Ouégnin a d’abord réuni autour de lui de jeunes cadres dynamiques et férus de cheval, comme lui : Souleymane Fofana, chargé du sponsoring, Joseph Biley, directeur exécutif, Seiller Paul, chargé des relations avec les clubs, Medi Bamba, secrétaire général, Mamadou Ouattara, chargé des finances, etc. ensuite, il a pris son bâton de pèlerin pour convaincre des partenaires locaux comme l’Injs, l’Oissu ; au Maroc les instances internationales à adhérer à son projet.
L’affiliation à la Fédération internationale d’équitation (Fei) en novembre 2019 et bientôt à la Fédération mondiale du tourisme équestre (Fite) témoignent de la volonté de Ouégnin et son équipe de repositionner le pays dans le gotha mondial.
Ces deux affiliations permettent à la Fédération ivoirienne d’avoir les coudées franches pour exécuter allègrement son programme sur le plan national. « Pour les Jeux olympiques de Paris 2024, ce sera un peu juste pour nous d’y envoyer un athlète. En revanche, nous travaillons en vue des Jeux de la jeunesse qui auront lieu en 2026, à Dakar, au Sénégal. Et puis nous avons l’accord de Fei pour la tenue de son assemblée générale annuelle à Abidjan », confiait le président Ouégnin.
En attendant, la Fédération est en train de finaliser la mise sur pied de son club fédéral, à Mondoukou. « Ce site va permettre aux athlètes et amateurs du sport équestre de faire du saut d’obstacles, de l’endurance, la course. Il sera également l’endroit idéal pour former des jokers », a poursuivi Ouégnin.
« Mon ambition est de faire en sorte que l’équitation devienne un sport populaire dans mon pays. Je ne l'exige pas, mais parce que ce sport est ma passion et procure du bien-être aux êtres humains que nous sommes. Vous n’imaginez pas la joie, les émotions que monter à cheval peut vous procurer », aime-t-il à répéter.
L’autre bataille de Stéphane Ouégnin, c’est que pour lui, le cheval est un vecteur d’emploi. « Beaucoup de jeunes ivoiriens peuvent sortir du chômage grâce à l’équitation, qui englobe en même temps le sport, le commerce, l’industrie, la culture, le tourisme et bien d’autres secteurs », dit-il.
Pour se donner les moyens de sa politique, le président Ouégnin a d’abord réuni autour de lui de jeunes cadres dynamiques et férus de cheval, comme lui : Souleymane Fofana, chargé du sponsoring, Joseph Biley, directeur exécutif, Seiller Paul, chargé des relations avec les clubs, Medi Bamba, secrétaire général, Mamadou Ouattara, chargé des finances, etc. ensuite, il a pris son bâton de pèlerin pour convaincre des partenaires locaux comme l’Injs, l’Oissu ; au Maroc les instances internationales à adhérer à son projet.
L’affiliation à la Fédération internationale d’équitation (Fei) en novembre 2019 et bientôt à la Fédération mondiale du tourisme équestre (Fite) témoignent de la volonté de Ouégnin et son équipe de repositionner le pays dans le gotha mondial.
Ces deux affiliations permettent à la Fédération ivoirienne d’avoir les coudées franches pour exécuter allègrement son programme sur le plan national. « Pour les Jeux olympiques de Paris 2024, ce sera un peu juste pour nous d’y envoyer un athlète. En revanche, nous travaillons en vue des Jeux de la jeunesse qui auront lieu en 2026, à Dakar, au Sénégal. Et puis nous avons l’accord de Fei pour la tenue de son assemblée générale annuelle à Abidjan », confiait le président Ouégnin.
En attendant, la Fédération est en train de finaliser la mise sur pied de son club fédéral, à Mondoukou. « Ce site va permettre aux athlètes et amateurs du sport équestre de faire du saut d’obstacles, de l’endurance, la course. Il sera également l’endroit idéal pour former des jokers », a poursuivi Ouégnin.
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