La conférence s'est déroulée le samedi 2 décembre 2023, à la Commission nationale ivoirienne pour l’Unesco, à Abidjan-Cocody. Elle s'inscrit dans le cadre des 16 jours d'activisme de lutte contre les violences basées sur le genre initiés par l’Organisation des nations unies pour les femmes (Onu Femmes).
L’objectif visé : vulgariser cette loi et contribuer à la lutte contre les violences domestiques. A cette occasion, Geneviève Kouassi, juriste, conférencière, a expliqué que cette loi permet au juge de prendre une ordonnance pour protéger les victimes de violences contre sa vie et d’éventuelle invalidité que pourrait occasionner cette situation.
« Article 2 : En cas de violences domestiques mettant en danger l’une des personnes mentionnées à l’article précédent, le président du tribunal peut délivrer, en urgence, une ordonnance de protection à la victime », a justifié Geneviève Kouassi, conférencière.
Selon elle, toutes les violences sont prises en compte, notamment les violences physiques, morales et bien d’autres. Aussi, dira-t-elle, « article 3 : L’ordonnance de protection peut être obtenue sur requête présentée par toute personne intéressée ou par le procureur de la République. Celui-ci est tenu d’agir d’office dès qu’il a connaissance du danger que font courir à la victime, les violences exercées comme il est dit à l’article précédent ».
Quant à Mme Laurentine Aguié-Koffi, Juriste, elle a exhorté les uns et les autres à une synergie d’actions afin de juguler ce phénomène qui est très récurrent au cours de ces dernières années.
L’objectif visé : vulgariser cette loi et contribuer à la lutte contre les violences domestiques. A cette occasion, Geneviève Kouassi, juriste, conférencière, a expliqué que cette loi permet au juge de prendre une ordonnance pour protéger les victimes de violences contre sa vie et d’éventuelle invalidité que pourrait occasionner cette situation.
« Article 2 : En cas de violences domestiques mettant en danger l’une des personnes mentionnées à l’article précédent, le président du tribunal peut délivrer, en urgence, une ordonnance de protection à la victime », a justifié Geneviève Kouassi, conférencière.
Selon elle, toutes les violences sont prises en compte, notamment les violences physiques, morales et bien d’autres. Aussi, dira-t-elle, « article 3 : L’ordonnance de protection peut être obtenue sur requête présentée par toute personne intéressée ou par le procureur de la République. Celui-ci est tenu d’agir d’office dès qu’il a connaissance du danger que font courir à la victime, les violences exercées comme il est dit à l’article précédent ».
Quant à Mme Laurentine Aguié-Koffi, Juriste, elle a exhorté les uns et les autres à une synergie d’actions afin de juguler ce phénomène qui est très récurrent au cours de ces dernières années.
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