Peu de personnes n’ont pas un avis tranché sur la question de la succession de Johnny Hallyday. De Sylvie Vartan à Nathalie Baye, en passant par Jean-Claude Camus, Jean Reno, Gérard Depardieu, Dominique Besnehard ou bien encore Michel Drucker, tous ont depuis plusieurs semaines donné leur point de vue sur la guerre qui déchire le clan Hallyday. La plupart ne comprennent pas comment le rockeur a pu délibérément décider de déshériter ses deux aînés, David et Laura. Une décision que Bernard Tapie, qui se bat actuellement contre un cancer de l’estomac, ne comprend pas non plus et le fait savoir dans sa dernière interview accordée au «Point». «J’aime tellement mes gosses que je serais incapable de les déshériter, si cela était possible en France, confie-t-il. Je n’ai conçu ma vie que pour eux. Dès que j’ai gagné trois sous, c’était pour eux. J’ai toujours vécu avec mes enfants. Et maintenant qu’ils sont grands, je vis avec mes petits-enfants».
"Il n’y aura pas de loup"
Visiblement très attaché à sa famille, Bernard Tapie donne alors des détails au magazine sur comment s’organise sa vie au quotidien. «Pour ne rien vous cacher, ici dans l’immeuble à droite, habite le fils de mon petit-fils. Je suis son arrière-grand-père et je suis fou de bonheur qu’il vive à mes côtés». Mais l’ancien patron de l’OM ne s’arrête pas là confirmant le fait que ses enfants, la prunelle de ses yeux, hériteront de tout le jour de son décès. Cela ne pourrait être autrement. «A ma mort, il n’y aura pas de loup. Nos enfants sont la plus belle chose que la vie nous ait permis d’avoir avec Dominique». Une belle déclaration d’amour.
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