De son vrai nom Gandhi Djuna, Gim’s a égaillé, vendredi 25 décembre 2020, de 18 heures à 22 heures, les personnes âgées, les jeunes, et les moins jeunes, venus de tous horizons, oublieux des difficultés de la conjoncture due au Covid 19, et qui se sont égaillés, joyeux drilles, au rythme de « Sapé comme jamais », « Zombie », « Malheur », ou « Laissez-passer » et des sonorités de son dernier opus, Le Fléau sorti cette année.
Dans une ambiance festive, le public venu massivement assister au spectacle ce jour de célébration de la nativité, a chanté et dansé avec l’artiste aux verres fumés, savourant ses tubes ses plus connus et ses nouvelles créations tirés de son dernier tube « Le Fléau ».
Fidèle ami de feu DJ Arafat, il lui a rendu hommage en interprétant l’un de ses titres phares, « Doza » soulevant hourras et danses frénétiques d’une épaule qui qui se lève et descend en cadence avec la tête dans la même rythmique, à la limite de la transe quasi collective.
« C’était Génial », s’est enthousiasmée Mlle Désirée Dro, qui suit sa carrière depuis le début et qui connait les paroles et strophes de chacune de ses compositions.
Membre du groupe parisien Sexion d’assaut au début des années 2000, Gim’s a sorti en 2013 son premier album solo, intitulé « Subliminal ». Deux autres albums suivent ensuite, « Mon cœur avait raison » (2015) et « Ceinture noire » (2018), lequel connaît deux rééditions. Il a sorti cette année « Le fléau ».
Ancien enfant de la rue, Gim’s est, à 29 ans, au sommet de la gloire. Ses disques sont de véritable succès et son travail vient d’être récompensé par des deux NRJ Music Awards. L’artiste vient de lancer une « Username », son enseigne de prêt-à-porter.
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