Janelle Monáe cite le cinéaste Fritz Lang, l’auteur Philip K. Dick ou encore les chanteurs Prince et Stevie Wonder comme inspirations. Ses références sont éclectiques. Comme ses looks (toujours acidulés) et ses combats. Autant dans ses chansons qu’au cinéma, elle s’engage. Dans les films qu’elle choisit, ce sont les droits des Noirs que Janelle Monáe met en avant. Avec «Les figures de l’ombre», qui retrace le parcours de trois femmes noires qui ont aidé à la conquête de l’espace de la NASA, avec «Moonlight», qui dépeint le quotidien sur trois générations d’un afro-américain homosexuel, avec «Black Panther», qui raconte l’histoire du premier super-héros noir.
Féministe
Dans les chansons qu’elle écrit, compose et interprète, ce sont toutes sorte de messages quelle veut faire passer. Avec le titre «Django Jane», un des premiers extraits de son album «Dirty Computer» dont la sortie est prévue le 27 avril prochain, la chanteuse répond «à ceux qui menacent mes droits en tant que femme, mais aussi en tant que femme noire et femme sexuellement libérée, en tant que fille de parents qui ont été oppressés pendant des décennies». Avec le titre «Pynk», dernier extrait dévoilé, la chanteuse de 32 ans rend hommage au sexe féminin en dansant dans un pantalon en forme de vagin. Une chanson qu’elle voit comme une réponse à Donald Trump qui croit pouvoir «saisir par la chatte» les femmes.
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