Shan'L révèle son sacrifice pour devenir célèbre

L’avocate des tchizas vient de faire parler d’elle encore.  Shan’l une des artistes francophones féminines les plus panafricanistes explique son chemin épineux vers la gloire

Elle fait une confidence sur ses moments de galère et enflamme la toile.

La chanteuse gabonaise Shan'l est aujourd'hui une star connue dans plusieurs pays de l'Afrique et ailleurs.

Mais avant d'être un visage identifiable, une voix qui fait danser la jeune femme a traversé des moments de dures labeurs.

Il est difficile de penser que Shan'l a passé 10 ans dans la musique avant de véritablement connaître le succès.

Eh bien, l'interprète des tubes ''tchizabengue'', là-bas, où est le mariage, ''je veux faire l'amour''n'a pas été reconnu à son premier essai.

Il a fallu compter 10 ans de dure labeur avant de finalement célébrer la talentueuse artiste depuis maintenant 3 ans, selon ses récentes affirmations.

Sur la route de la célébrité, une artiste lui a tendu la perche, un rôle qui a marqué la musicienne.

Shan'l a fait la révélation ce dimanche 27 décembre 2020 sur sa page Facebook en témoignage de sa reconnaissance à sa collègue Arielle T qui a cru en elle.

"Ma grande soeur Arielle T. Tu as été un exemple pour moi dans ma carrière, tu as cru en moi et tu m'as tendu la perche ....

Le chemin a été long difficile mais tu m'as toujours encouragé et je te serai toujours reconnaissante ma petite maman.10 ans de dure labeur et quasiment 3 ans de reconnaissance publique.... merciiii la grande ( comme je t'appelle affectueusement)."

Lekogo channelle née le 6 février 1989 au gabon a été également la choriste de Arielle T et les deux femmes ont fait un titre ensemble intitulé ''l'aveu''.

Il faut tout simplement retenir que réussir ou devenir star du jour au lendemain n'existe pas toujours, les difficultés sont une étape de la vie.

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Artiste gabonaise très en vogue, Shan’L est une chanteuse de 30 ans qui ne laisse personne indifférent. Adulée par les uns, elle est aussi décriée par les autres, tant pour ses chansons à polémiques que pour ses tenues provocantes. On lui doit la vulgarisation du terme "Tchiza" qui fait référence aux maîtresses (amantes) dont elle s’est faite l’avocate-défenseure notamment à travers son tube « Tchizambengue ».