Le président du Fpi ne démord pas dans son opposition au projet de nouvelle Constitution qu’il qualifie de « rétrograde, bonapartiste et dictatoriale ». Pour Affi N’guessan, rapporte L’Inter, « ce n’est pas avec cela que le pays peut affronter les défis importants de lutte contre la pauvreté, de chômage de jeune, de cherté de la vie, de bonne gouvernance, etc ».
Ne se faisant pas d’illusion quant à l’issue du référendum du 30 octobre prochain, l’actuel patron officiel du Fpi s’engage à « abolir » cette nouvelle constitution si le peuple lui accorde les moyens. « C’est ce que nous allons solliciter à l’occasion des élections législatives, tout mettre en œuvre pour que cette constitution soit abolie », fait-il savoir.
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