Albert Toikeusse Mabri, président de l’UDPCI et membre fondateur du RHDP, redoute-t-il un assassinat comme Robert Guéi, fondateur de son parti ?
C’est qui ressort d’une note dont Afriksoir.net a eu copie et signée par l’un de ses fidèles.
Le Président Robert Guéi, ex-Chef d’État, Fondateur et premier Président de l’UDPCI a été assassiné le 19 septembre 2002, parce que livré à la mort par des politiques sur base de mensonge et de calomnie grave.
Son épouse, Rose Doudou Guéi n’a pas échappé au courroux des méchants, son corps sans vie a été retrouvé dans un caniveau près de sa résidence. Sa garde rapprochée ainsi que le personnel de maison a été exterminée.
Rappelons que deux semaines avant l’assassinat du leader de l’UDPCI, le Secrétaire Général du parti, M. Balla Keita a été assassinat dans des conditions troubles. Le fait marquant dans cette tragédie, c’est le rôle stratégique joué par les médias(presse nationale et internationale) qui consistait à préparer l’esprit de l’opinion et surtout à faire accepter par tous que le Gl Robert Guéi était effectivement le principal instigateur de la tentative de coup d’État muée en rébellion armée en 2002.
Certains ivoiriens ont naïvement dansé à la l’annonce de l’assassinat du leader de l’UDPCI considéré à tord comme l’ennemi de la Côte d’Ivoire.
Aujourd’hui, sans réhabiliter le Président Robert Guei, les auteurs de la rébellion revendiquent et se disputent la paternité de cette opération meurtrière.
• Considérant ce qui précède, et
• vu le fait que l’actuel leader de l’UDPCI, le Président Abdallah Toikeusse MABRI a réussi à reconstruire le parti, à redorer l’image du parti au plan national et internationale, à avoir une assise nationale,
• vu le fait que le Président Abdallah Toikeusse Mabri se présente aujourd’hui comme un prétendant sérieux pour la course à la succession au Président Ouattara,
Cette accusation du journal
L’Essor, est grave et inacceptable.
Il est plus que nécessaire de prendre à témoin l’opinion nationale et internationale sur ce qui pourrait être assimilé au processus d’assassinat du Président Dr Abdallah Toikeusse Mabri enclenché par ce journal afin de préparer l’esprit des ivoiriens et justifier cette sa besogne comme ce fût le cas pour le Président Robert Guéi sous l’ancien régime en 2002.
J’espère que l’auteur de cet article a des éléments fiables pour répondre de ses actes devant la justice.
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