« Abobo était très très très difficile pour nous. On était tiré dessus par des armes de guerre. C’était difficile pour nous de reprendre Abobo, parce qu’on avait perdu Abobo », a affirmé le général Detho Letho à son audition, mardi 7 novembre 2017, devant la CPI.
Avant qu’ils ne perdent Abobo, le témoin a affirmé que les FDS ont perdu des éléments tués par le commando invisible au début du conflit militaire. En manque d’effectif pour continuer la sécurisation de la commune, ils ont fait appel à des éléments basés au centre du pays. Mais quand ceux-ci sont arrivés, ils n’ont pu être utiles parce qu’ils « détenaient des armes qui dataient de 1949 », a affirmé Detho Letho.
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