Une vingtaine de partis poursuivent avec le gouvernement les discussions qui étaient à l’arrêt depuis un an : libération des prisonniers politiques, retour des exilés, réforme de la Commission électorale indépendante et du code électoral...
Le parti de Charles Blé Goudé, qui se trouve toujours à La Haye, aux Pays-Bas, n'y participe pas. Le président du Cojep affirme que sa formation n'y a pas été conviée et le regrette, même s'il salue le principe d'un tel dialogue.
"Nous ne sommes pas invités et nous pensons qu’il faut que ce soit un dialogue inclusif. Il faut ouvrir le dialogue pour que chacun puisse dire ce qu’il a à dire, faire ses propositions. La Côte d’Ivoire a besoin de tous ses fils et de toutes ses filles. Aucune raison ne nous a été donnée, on n’a même pas été approchés du tout. En tout état de cause, c’est un appel que je lance au gouvernement et aux organisateurs du dialogue politique. La crise est tellement profonde qu’il faut un dialogue inclusif."
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