Les avocats de Mme Gbagbo réclament la reprise de son procès pour crimes contre l’humanité intervenus pendant la crise post-électorale de 2010-2011, devant la Cour d’assises d’Abidjan Plateau, estimant qu’elle n’œuvre pour une justice équitable.
« Les actes et déclarations et décisions de la Cour d’assises et du ministère public, dans le cadre de ce procès historique, contreviennent gravement aux engagements pris par l’état de Côte d’Ivoire de garantir une justice juste et équitable », a déclaré dans un communiqué transmis lundi à la presse, la défense de l’ex première dame de Côte d’Ivoire.
Pour la défense de Mme Gbagbo, « la justice n’a pas été en mesure à dessein d’entendre les acteurs des faits de la crise post électorale que ce sont principalement, le directeur général de la police Bredou M’Bia, le commandant supérieur de la gendarmerie, le Général Tiapé Edouard, le chef d’état major de l’armée, le général Philipe Mangou et Guillaume Soro pour l’organisation de la marche de la RTI », ont-il décrié. *
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