Pour une révélation, c’en est une. Amoa Urbain n’a pas toujours été l’homme sage que l’on connaît aujourd’hui. Pour le moins, si l’on s’en tient à l’éditorial de Tiburce Koffi publié sur guillaumesoro.ci ce dimanche 25 juin.
Faisant la genèse de la Fesci, l’éditorialiste révèle que ce syndicat estudiantin est né sur les cendres de la Fédération nationale des Mouvements de Jeunesses de Côte d’Ivoire (FNMJCI) « créée et animée au cours des années 1980 par Amoi Urbain et Kouaho Léopold. Jugée suspecte et potentiellement subversive, la FNMJCI fut dissoute par le pouvoir, sur instruction de Dona-Fologo qui mena une guerre rude contre Amoi Urbain. C’est une autre histoire à conter, demain, à ce peuple et surtout à sa jeunesse frappée de cruelle amnésie… »
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