Selon Africa Intelligence, Macron, préoccupé par la stabilité politique en Afrique de l'Ouest, aurait confié à Sarkozy la tâche de convaincre Ouattara de céder la place à une nouvelle génération de dirigeants, en particulier au leader du PDCI-RDA, considéré comme un possible successeur.
Selon Macron, il est essentiel d'éviter une nouvelle crise en Côte d'Ivoire, un pays considéré comme un élément essentiel de stabilité dans la région.
L'Élysée s'appuie sur les relations personnelles entre l'ancien président français et Ouattara en confiant cette mission à Sarkozy.
Sarkozy, l'un des acteurs majeurs de la crise post-électorale en Côte d'Ivoire de 2010-2011, cherche à persuader son ancien allié de prendre une retraite politique digne. L'issue de cette médiation reste toutefois incertaine.
Aucune annonce n'a encore été faite par Ouattara concernant 2025, et ses partisans pourraient être opposés à l'idée d'un retrait prématuré.
Alassane Ouattara a gouverné en Côte d'Ivoire pendant quinze ans.
S'il accepte la décision de son parti, Alassane Ouattara, qui a bientôt quinze ans au pouvoir, pourrait donc en faire un nouveau. Il pourrait donc dépasser deux mandats dans cette situation, et cela dans une sous-région qui fait face à une lassitude des populations face à des dirigeants politiques qui ne respectent pas le principe de la démocratie.
Sarkozy, l'un des acteurs majeurs de la crise post-électorale en Côte d'Ivoire de 2010-2011, cherche à persuader son ancien allié de prendre une retraite politique digne. L'issue de cette médiation reste toutefois incertaine.
Aucune annonce n'a encore été faite par Ouattara concernant 2025, et ses partisans pourraient être opposés à l'idée d'un retrait prématuré.
Alassane Ouattara a gouverné en Côte d'Ivoire pendant quinze ans.
S'il accepte la décision de son parti, Alassane Ouattara, qui a bientôt quinze ans au pouvoir, pourrait donc en faire un nouveau. Il pourrait donc dépasser deux mandats dans cette situation, et cela dans une sous-région qui fait face à une lassitude des populations face à des dirigeants politiques qui ne respectent pas le principe de la démocratie.
Selon Gilles Yabi, membre du cercle de réflexion Wathi, les dirigeants du Togo et de la Côte d'Ivoire sont pris dans une logique de préservation du pouvoir et ne tirent pas des leçons des putschs qui les entourent.
« Dans le cas spécifique de la Côte d’Ivoire, il est très clair que tout cela ne fait que créer à nouveau une situation de tension, de crispation, poursuit Gilles Yabi. Mais la crainte bien sûr ce sera d’avoir des conditions de l’élection qui ne seraient pas transparentes. Ce serait alors à nouveau une cause de tension dans une région ouest-africaine qui n’en a absolument pas besoin, avec déjà énormément d’incertitudes politiques et sécuritaires. »
Maintenant, tout reposera sur la décision du président Alassane Ouattara.
Selon ses partisans, il a le droit de se présenter pour un second mandat. Selon eux, l'adoption de la nouvelle Constitution en 2016 a rétabli les "compteurs à zéro".
Ce que remettent en question ses adversaires qui avaient déjà considéré le mandat actuel comme anticonstitutionnel.
Selon ses partisans, il a le droit de se présenter pour un second mandat. Selon eux, l'adoption de la nouvelle Constitution en 2016 a rétabli les "compteurs à zéro".
Ce que remettent en question ses adversaires qui avaient déjà considéré le mandat actuel comme anticonstitutionnel.
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