Selon son service de communication, Pulchérie Gbalet était à la Cour d'appel ce lundi 6 février 2023 où "en lieu et place de sa détention injustifiée, elle a été placée sous contrôle judiciaire avec certaines interdictions et restrictions", précise le service de communication de l'activiste sur sa page Facebook, sans donner de détails sur la nature des "interdictions et restrictions".
Par ailleurs, l'on y apprend que "Pulchérie Gbalet et trois de ses camarades de lutte comparaîtront, le jeudi 23 février devant la Cour de cassation" dans une procédure relative à l'affaire de "non au 3è mandat" qui lui avait valu près d'un an de détention en 2020.
En détention depuis le 22 août 2022, Mme Gbalet était incarcérée à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA) pour "entente avec les agents d'une puissance étrangère", notamment, le Mali, pays avec lequel la Côte d’Ivoire était en froid après l’arrestation le 10 juillet 2022 à Bamako de 49 soldats ivoiriens.
Les avocats de Mme Gbalet avaient dénoncé des faits non établis, rejetant toutes les accusations portées contre leur cliente qui s’était rendue selon eux au Mali à l'invitation d'une ONG sœur. Au cours de son séjour, elle a voulu s’enquérir des nouvelles des soldats arrêtés.
La militante de la société civile était également accusée d'avoir rendu visite aux familles de ces soldats. Selon l’un des chefs d’accusation, cette démarche était de nature à porter atteinte à l'image de la Côte d'Ivoire.
Après leur arrestation, les 49 militaires ivoiriens ont été jugés et condamnés pour «atteinte à la sûreté de l'État» avant d’être graciés par le président de la transition malienne, le Colonel Assimi Goïta, puis libérés. Ils ont regagné la Côte d’Ivoire le samedi 07 janvier 2023.
Par ailleurs, l'on y apprend que "Pulchérie Gbalet et trois de ses camarades de lutte comparaîtront, le jeudi 23 février devant la Cour de cassation" dans une procédure relative à l'affaire de "non au 3è mandat" qui lui avait valu près d'un an de détention en 2020.
En détention depuis le 22 août 2022, Mme Gbalet était incarcérée à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA) pour "entente avec les agents d'une puissance étrangère", notamment, le Mali, pays avec lequel la Côte d’Ivoire était en froid après l’arrestation le 10 juillet 2022 à Bamako de 49 soldats ivoiriens.
Les avocats de Mme Gbalet avaient dénoncé des faits non établis, rejetant toutes les accusations portées contre leur cliente qui s’était rendue selon eux au Mali à l'invitation d'une ONG sœur. Au cours de son séjour, elle a voulu s’enquérir des nouvelles des soldats arrêtés.
La militante de la société civile était également accusée d'avoir rendu visite aux familles de ces soldats. Selon l’un des chefs d’accusation, cette démarche était de nature à porter atteinte à l'image de la Côte d'Ivoire.
Après leur arrestation, les 49 militaires ivoiriens ont été jugés et condamnés pour «atteinte à la sûreté de l'État» avant d’être graciés par le président de la transition malienne, le Colonel Assimi Goïta, puis libérés. Ils ont regagné la Côte d’Ivoire le samedi 07 janvier 2023.
0 Commentaires
Participer à la Discussion
Commentez cet article