‘’ (…), je demande formellement au Gouvernement de reporter les élections prévues et d’ouvrir des discussions franches et inclusives avec l’opposition et les forces vives de la nation en vue de trouver des solutions consensuelles pour des élections justes et transparentes’’, a plaidé l’ex-Première Dame ivoirienne.
Mme Gbagbo a tenu ces propos, dimanche, lors de la célébration de la 1ère édition de la ‘’Fête des Libertés’’ à l’initiative de son parti, le MGC, pour célébrer ‘’la proclamation du multipartisme en Côte d’Ivoire par le Président Félix Houphouët-Boigny et le PDCI’’, a-t-elle expliqué.
‘’Cette fête est à sa première édition. Elle permet à tous les militants du MGC et à l’ensemble des démocrates de Côte d’Ivoire, de célébrer, d’une part, les acquis démocratiques d’antan en vue de leur consolidation et d’autre part, de faire une revue d’ensemble des libertés physiques, des libertés idéologiques, des libertés intellectuelles, des libertés économiques, des libertés religieuses et des libertés morales, pour une Renaissance forte et dynamique de la Côte d’Ivoire’’, a justifié Simone Gbagbo.
‘’Il nous faut, à partir d’ici, rebâtir le «revivre ensemble» pour redémarrer l’œuvre de reconstruction de la Nation ivoirienne’’, a poursuivi la présidente du MGC qui a, également, appelé à ‘’une amnistie générale pour libérer tous les prisonniers et pour permettre aux exilés de revenir dans leur pays’’.
La réconciliation nationale et le retour à une paix durable, selon elle, sont à ce prix. Et le MGC ne ménagera aucun effort pour ramener la concorde et la cohésion sociale conditions sine qua non de la renaissance de notre pays, a-t-elle insisté, en demandant ‘’pardon à toute la nation, à tous ceux qui ont subi des souffrances terribles, qui ont perdu des parents, qui ont perdu des biens, qui ont perdu leurs terres, qui ont perdu leurs emplois, qui ont été contraints à l’exil interne ou externe’’.
‘’J’accorde aussi mon pardon à tous ceux qui ont causé du tort à la nation, à ma personne, à mes proches, à ma famille politique. J’exhorte tous les responsables politiques de la Côte d’Ivoire à me suivre dans cet exercice, de demander pardon et d’accepter le pardon des autres dans l’intérêt supérieur de notre pays’’, a insisté, encore, Simone Gbagbo.
Mme Gbagbo a tenu ces propos, dimanche, lors de la célébration de la 1ère édition de la ‘’Fête des Libertés’’ à l’initiative de son parti, le MGC, pour célébrer ‘’la proclamation du multipartisme en Côte d’Ivoire par le Président Félix Houphouët-Boigny et le PDCI’’, a-t-elle expliqué.
‘’Cette fête est à sa première édition. Elle permet à tous les militants du MGC et à l’ensemble des démocrates de Côte d’Ivoire, de célébrer, d’une part, les acquis démocratiques d’antan en vue de leur consolidation et d’autre part, de faire une revue d’ensemble des libertés physiques, des libertés idéologiques, des libertés intellectuelles, des libertés économiques, des libertés religieuses et des libertés morales, pour une Renaissance forte et dynamique de la Côte d’Ivoire’’, a justifié Simone Gbagbo.
‘’Il nous faut, à partir d’ici, rebâtir le «revivre ensemble» pour redémarrer l’œuvre de reconstruction de la Nation ivoirienne’’, a poursuivi la présidente du MGC qui a, également, appelé à ‘’une amnistie générale pour libérer tous les prisonniers et pour permettre aux exilés de revenir dans leur pays’’.
La réconciliation nationale et le retour à une paix durable, selon elle, sont à ce prix. Et le MGC ne ménagera aucun effort pour ramener la concorde et la cohésion sociale conditions sine qua non de la renaissance de notre pays, a-t-elle insisté, en demandant ‘’pardon à toute la nation, à tous ceux qui ont subi des souffrances terribles, qui ont perdu des parents, qui ont perdu des biens, qui ont perdu leurs terres, qui ont perdu leurs emplois, qui ont été contraints à l’exil interne ou externe’’.
‘’J’accorde aussi mon pardon à tous ceux qui ont causé du tort à la nation, à ma personne, à mes proches, à ma famille politique. J’exhorte tous les responsables politiques de la Côte d’Ivoire à me suivre dans cet exercice, de demander pardon et d’accepter le pardon des autres dans l’intérêt supérieur de notre pays’’, a insisté, encore, Simone Gbagbo.
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