Celui qu’on croyait en pleine itinérance à travers le pays, avec les mêmes applaudisseurs de Ouattara, parqués dans plus de 200 cars, pour sa campagne présidentielle, s’est signalé par une vidéo.
Sans rire, Adama Bictogo, dans ses diatribes contre les cadres de l’opposition, se vide sur le Président MABRI qu’il qualifie de "voyou" qui aurait été coupable de malversations dans les ministères qu’il a gérés.
Bictogo souffrirait-il encore du dépit amoureux après le vide créé au RHDP par le départ définitif de MABRI ? Se laisse-t-il trahir par ce qui se dit dans la case, devenue une grande fabrique de délits qu’on attribue à tour de bras à tous ceux qui ne veulent plus mener leur aventure « qui s’inspire du faux » ? En tout cas, le connaissant comme coutumier des frasques médiatiques, on aurait dû laisser cette autre incongruité mourir d’elle-même dans le flot de l’actualité.
Mais, nous levons le verbe pour noter que nous serions dans un pays policé, et ces politiciens sur le tard comme Bictogo, ne pourraient jamais avoir voix au chapitre. Ils ne pourraient jamais décocher leur flèche de haine contre un homme d’Etat comme le ministre MABRI. N’est-il pas ce même Bictogo qui s’est créé un petit empire financier sur le dos des pauvres victimes des déchets toxiques en Côte d’Ivoire ? En 2012, devenu un colis trop encombrant pour Ouattara, sa force tutélaire, il a été purement et simplement éjecté du gouvernement sous bonne garde médiatique. Avoir un tel passé si sulfureux et porter des accusations hasardeuses contre un cadre aux compétences transversales, est une sacrée aberration de l’histoire. En plus, ce Bictogo, connu désormais comme le « plus célèbre vendeur d’oignon » n’est-il pas cet homme d’affaires qui se taille une part de lion dans l’attribution des marchés publics en Côte d’Ivoire ? Je le mets au défi de nous présenter le cadre légal dans lequel les marchés lui sont attribués de gré à gré sous la gouvernance Ouattara.
Tout porte à croire que le mercantilisme sous-tend l’engagement politique de Bictogo. Et puis, parlons de l’homme politique. Qu’est-ce qu’il a pu apporter au RHDP si ce n’est d’attiser le fond tribaliste et d’éloigner tous les cadres les plus compétents ?
Que ce Bictogo sache que la fortune bâtie dans ces conditions si douteuses, ne peuvent lui conférer cette assurance de tenir la dragée haute à un Homme d’Etat comme le Président MABRI TOIKEUSSE.
L’Honorable Eveline Taly KPONH
Porte-parole Adjointe de l’UDPCI
Députée suppléante
de Zouan-Hounien
Ex Vice-présidente de l’Assemblée Nationale
Sans rire, Adama Bictogo, dans ses diatribes contre les cadres de l’opposition, se vide sur le Président MABRI qu’il qualifie de "voyou" qui aurait été coupable de malversations dans les ministères qu’il a gérés.
Bictogo souffrirait-il encore du dépit amoureux après le vide créé au RHDP par le départ définitif de MABRI ? Se laisse-t-il trahir par ce qui se dit dans la case, devenue une grande fabrique de délits qu’on attribue à tour de bras à tous ceux qui ne veulent plus mener leur aventure « qui s’inspire du faux » ? En tout cas, le connaissant comme coutumier des frasques médiatiques, on aurait dû laisser cette autre incongruité mourir d’elle-même dans le flot de l’actualité.
Mais, nous levons le verbe pour noter que nous serions dans un pays policé, et ces politiciens sur le tard comme Bictogo, ne pourraient jamais avoir voix au chapitre. Ils ne pourraient jamais décocher leur flèche de haine contre un homme d’Etat comme le ministre MABRI. N’est-il pas ce même Bictogo qui s’est créé un petit empire financier sur le dos des pauvres victimes des déchets toxiques en Côte d’Ivoire ? En 2012, devenu un colis trop encombrant pour Ouattara, sa force tutélaire, il a été purement et simplement éjecté du gouvernement sous bonne garde médiatique. Avoir un tel passé si sulfureux et porter des accusations hasardeuses contre un cadre aux compétences transversales, est une sacrée aberration de l’histoire. En plus, ce Bictogo, connu désormais comme le « plus célèbre vendeur d’oignon » n’est-il pas cet homme d’affaires qui se taille une part de lion dans l’attribution des marchés publics en Côte d’Ivoire ? Je le mets au défi de nous présenter le cadre légal dans lequel les marchés lui sont attribués de gré à gré sous la gouvernance Ouattara.
Tout porte à croire que le mercantilisme sous-tend l’engagement politique de Bictogo. Et puis, parlons de l’homme politique. Qu’est-ce qu’il a pu apporter au RHDP si ce n’est d’attiser le fond tribaliste et d’éloigner tous les cadres les plus compétents ?
Que ce Bictogo sache que la fortune bâtie dans ces conditions si douteuses, ne peuvent lui conférer cette assurance de tenir la dragée haute à un Homme d’Etat comme le Président MABRI TOIKEUSSE.
L’Honorable Eveline Taly KPONH
Porte-parole Adjointe de l’UDPCI
Députée suppléante
de Zouan-Hounien
Ex Vice-présidente de l’Assemblée Nationale
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