Il salue pour ce faire l’action de tous les acteurs qui, dit-il, ont tiré ce concours du flot où il se noyait pour le mettre sur la berge. « Cette 18è édition montre bien que la Société mathématique de Côte d’Ivoire et son président, professeur Saliou Touré, sont en train de relever un grand défi, celui de stimuler le goût de nos élèves pour les mathématiques...», se réjouit-il. Avant d’affirmer fièrement que sur le plan de la participation « la moisson est bonne et même meilleure que celle des éditions précédentes ».
Si les élèves se mobilisent peu à peu, selon lui, il est tout de même capital de poursuivre le combat contre certains stéréotypes qui reste un frein à l’épanouissement des candidates, à savoir l’environnement socio-culturel, les idées reçues. Et à côté, l’insuffisance de professeurs de mathématiques, les moyens qui font défaut. C’est pourquoi, il opte pour la multiplication d’établissements non mixtes dotés d’internats, où les filles se retrouvent, se font confiance et ne craignent plus les moqueries et les sollicitations qui, à l’en croire, poussent certaines filles au décrochage.
Raison pour laquelle, il invite les partenaires, les personnes de bonne volonté, les acteurs du système éducatif à poursuivre leurs efforts pour le meilleur des jeunes filles et de toute la Nation.
Le Port autonome d’Abidjan dont le directeur général est le parrain de la Commission Miss Mathématique dit s’inscrire dans cette dynamique. Son émissaire Voho Sahi Emmanuel explique d’ailleurs que le soutien aux organisateurs du concours traduit la vision de son patron pour la question du genre.
Quant au représentant de la ministre de l’Education nationale et de l’Alphabétisation, Deloh André, directeur de la veille, du suivi et des programmes, lui, a exprimé l’engagement du professeur Mariatou Koné à accompagner la Smci dans cette lutte effrénée pour promouvoir les Maths. Il félicite déjà la Société pour le travail abattu, car grâce à elle, les maths sont décloisonnées.
Comme candidate, la Smci accepte les trois meilleures en math dans chaque établissement, aussi bien pour les 3è et que les Terminales. En ce qui concerne l’âge, il ne dépasse pas 16 ans pour les premiers et 19 ans pour les seconds. La proclamation des résultats est prévue pour le début du mois de juillet 2024.
Raison pour laquelle, il invite les partenaires, les personnes de bonne volonté, les acteurs du système éducatif à poursuivre leurs efforts pour le meilleur des jeunes filles et de toute la Nation.
Le Port autonome d’Abidjan dont le directeur général est le parrain de la Commission Miss Mathématique dit s’inscrire dans cette dynamique. Son émissaire Voho Sahi Emmanuel explique d’ailleurs que le soutien aux organisateurs du concours traduit la vision de son patron pour la question du genre.
Quant au représentant de la ministre de l’Education nationale et de l’Alphabétisation, Deloh André, directeur de la veille, du suivi et des programmes, lui, a exprimé l’engagement du professeur Mariatou Koné à accompagner la Smci dans cette lutte effrénée pour promouvoir les Maths. Il félicite déjà la Société pour le travail abattu, car grâce à elle, les maths sont décloisonnées.
Comme candidate, la Smci accepte les trois meilleures en math dans chaque établissement, aussi bien pour les 3è et que les Terminales. En ce qui concerne l’âge, il ne dépasse pas 16 ans pour les premiers et 19 ans pour les seconds. La proclamation des résultats est prévue pour le début du mois de juillet 2024.
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