Le taux de prévalence en matière de planning familial est très bas, soit 05,67% , dans le district sanitaire de Tanda contre 22% au niveau national, affirme le médecin chef et gynécologue de l’hôpital général de la ville, Sermé Seydou.
Dr Sermé a fait cette déclaration le samedi 28 novembre 2020, lors d’une table ronde initiée par l’ONG internationale Rescue Committee (IRC), à la salle des délibérations de la sous-préfecture de Tanda.
” Le planning familial n’est pas beaucoup pratiqué dans le département”, a-t-il déploré.
Le manque de formation et d’informations et les préjugés expliquent ce taux bas, a indiqué le médecin chef et gynécologue de l’hôpital général de Tanda.
Grace à sa politique de la santé de la reproduction, l’État entend participer à l’espacement des naissances pour le bien-être de la femme et de l’enfant. Le taux de prévalence contraceptive souhaitée, dans ce cadre est de 36% en fin 2020, a -t-on appris.
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