Cette formation initiée à l’intention des autorités administratives, communautaires, des associations de transporteurs et des propriétaires de restaurants, bars et clubs du district autonome d’Abidjan, vise à former ces acteurs sur les aspects de la lutte antitabac en Côte d’Ivoire.
A terme, cet atelier permettra de connaître l’origine et les conséquences sanitaires, économiques et sociales. Les participants auront une meilleure compréhension et les tenanciers des espaces publics et les transporteurs doivent prendre conscience des effets néfastes de la fumée du tabac sur la santé des non-fumeurs et des fumeurs.
Pour Me Fofana Nibesse, représentante du ministre-gouverneur du district autonome d’Abidjan, Ibrahima Cissé Bacongo, le tabagisme représente l’une des causes de maladies évitables et de décès prématurés en Côte d’Ivoire. « Les conséquences néfastes sur la santé sont bien documentés : cancers, maladies cardiovasculaires, affections respiratoires », a-t-elle rappelé.
A l’en croire, les actions coordonnées entre les secteurs de la santé, de l’éducation, de la législation et de la société civile sont essentielles pour créer un environnement qui dissuade l’imitation du tabac et encourage les fumeurs à renoncer. « Je voudrais réaffirmer l’engagement du district autonome d’Abidjan à soutenir toutes les initiatives visant à combattre le tabagisme. Nous croyons fermement que, grâce à des efforts conjoints et à une détermination collective, nous pouvons faire une différence significative pour assurer la santé de notre population », dit-elle.
La représentante de l’Oms, Soraya Dieng, a indiqué que le tabac tue environ 8 millions de décès par an dans le monde et en Côte d’Ivoire environ 9000 décès. « La Côte d’ivoire a fait d’énormes efforts en cette matière. Il y a des actions qui ont é menées notamment à l’aéroport Félix Houphouët-Boigny avec l’espace sans fumeur, les universités et d’autres lieux. Toutefois il reste encore des efforts à faire », dit-elle, souhaitant que des actions soient menées pour la mise en œuvre effective du décret d’interdiction de fumer dans les lieux publics afin de protéger toute la population.
Mme Monique Saraka, représentante de la présidente de l’Afjci, Me Francine Aka Anghui, a remercié les participants pour leur présence à cet atelier. « Votre présence ce jour n’est pas fortuite car nous sommes convaincus que chacun à son niveau peut contribuer à faire en sorte que la Côte d’ivoire se dite de politiques efficaces et une application stricte des dispositions juridiques en la matière », dit-elle, soulignant que fumer est un choix mais ne pas être exposé à la fumée du tabac est un doit.
« Je reste convaincue que chacun ici fera en sorte que le défi de l’interdiction de fumer dans les lieux publics et les transports en commun soit une réalité en Côte d’Ivoire »,a-t-elle conclu.
A terme, cet atelier permettra de connaître l’origine et les conséquences sanitaires, économiques et sociales. Les participants auront une meilleure compréhension et les tenanciers des espaces publics et les transporteurs doivent prendre conscience des effets néfastes de la fumée du tabac sur la santé des non-fumeurs et des fumeurs.
Pour Me Fofana Nibesse, représentante du ministre-gouverneur du district autonome d’Abidjan, Ibrahima Cissé Bacongo, le tabagisme représente l’une des causes de maladies évitables et de décès prématurés en Côte d’Ivoire. « Les conséquences néfastes sur la santé sont bien documentés : cancers, maladies cardiovasculaires, affections respiratoires », a-t-elle rappelé.
A l’en croire, les actions coordonnées entre les secteurs de la santé, de l’éducation, de la législation et de la société civile sont essentielles pour créer un environnement qui dissuade l’imitation du tabac et encourage les fumeurs à renoncer. « Je voudrais réaffirmer l’engagement du district autonome d’Abidjan à soutenir toutes les initiatives visant à combattre le tabagisme. Nous croyons fermement que, grâce à des efforts conjoints et à une détermination collective, nous pouvons faire une différence significative pour assurer la santé de notre population », dit-elle.
La représentante de l’Oms, Soraya Dieng, a indiqué que le tabac tue environ 8 millions de décès par an dans le monde et en Côte d’Ivoire environ 9000 décès. « La Côte d’ivoire a fait d’énormes efforts en cette matière. Il y a des actions qui ont é menées notamment à l’aéroport Félix Houphouët-Boigny avec l’espace sans fumeur, les universités et d’autres lieux. Toutefois il reste encore des efforts à faire », dit-elle, souhaitant que des actions soient menées pour la mise en œuvre effective du décret d’interdiction de fumer dans les lieux publics afin de protéger toute la population.
Mme Monique Saraka, représentante de la présidente de l’Afjci, Me Francine Aka Anghui, a remercié les participants pour leur présence à cet atelier. « Votre présence ce jour n’est pas fortuite car nous sommes convaincus que chacun à son niveau peut contribuer à faire en sorte que la Côte d’ivoire se dite de politiques efficaces et une application stricte des dispositions juridiques en la matière », dit-elle, soulignant que fumer est un choix mais ne pas être exposé à la fumée du tabac est un doit.
« Je reste convaincue que chacun ici fera en sorte que le défi de l’interdiction de fumer dans les lieux publics et les transports en commun soit une réalité en Côte d’Ivoire »,a-t-elle conclu.
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