Dans le dernier numéro du magazine américaine Architectural Digest, le rappeur canadien nous fait visiter son immense manoir, à Toronto.
On connaît déjà les goûts un peu (beaucoup) bling de certaines célébrités américaines. Tellement, que l'on était restées bouche-bées lorsque l'on avait découvert la gigantesque villa de Kim Kardashian et Kanye West étrangement vide et entièrement blanche. Mais en découvrant les images de la maison du rappeur Drake, le choc est tout autre. Aperçu dans les clips de "When to Say When", "Chiago Freestyle" et plus récemment "Toosie Slide", son incroyable manoir fait aujourd'hui la couverture du magazine américain Architectural Digest. Au fil de l'article, voilà que l'artiste de 33 ans fait le tour (interminable) des quelques 4000 m² qu'il occupe dans sa ville natale de Toronto. Plus la visite avance, plus on se perd parmi les fastes de cette propriété entièrement réalisée par l'architecte et décorateur d'intérieur canadien Ferris Rafauli.
Dès son hall d'entrée entièrement composé de marbre Marquina, le ton est donné. Deux statues de l'artiste Kaws accueillent les invités découvrant pas la même occasion un extraordinaire lustre en bronze.
Drake et sa maison de star
Malgré l'angle assez large de la prise de vue, impossible d'apercevoir le plafond. La hauteur des murs donne presque le vertige tandis que Drake pose sagement devant son piano Bösendorfer customisé par l'artiste japonais Takashi Murikami.
Il s'est également installé un studio d'enregistrement toujours dans le style Art-Déco, base de tout son projet. D'après l'article, l'artiste multimillionnaire l'a imaginé comme le mix "d'un studio excentrique des année 70 et du club Annabel's de Londres"
En éternel fan de basketball, Aubrey Drake Graham s'est fait construire un terrain aux dimensions réglementaires de 28m de long pour 15m de large. Cerise sur le gâteau, il s'est également offert une piscine surplombée de granite.
Drake, sa maison de star un poil trop tape à l'oeil...
Un étalage médiatique luxuriant qui créé déjà la polémique sur internet. En pleine crise du Covid-19 et alors que plus de 6 millions d'Américains se sont inscrits au chômage la semaine dernière, on se demande s'il le timing était vraiment bon.
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