Selon le président de l’Ong Bienfaisance, Coulibaly Dramane, cet édifice vient pour renforcer l’harmonie et la solidarité entre les frères d’armes. Aussi a-t-il précisé que cette mosquée a été bâtie sur une superficie de 200m2. « C’est un financement à hauteur de 53 553 320 FCfa des partenaires arabes et exécuté par l’Ong Bienfaisance, avec une capacité d’accueil de 320 fidèles », a-t-il poursuivi.
Traduisant sa satisfaction pour la réussite du projet, le président de l’Ong a rappelé que les travaux ont démarré le 22 mai 2022 en présence de l’ex-directeur de l’Ecole de police d’Abidjan, le contrôleur général de police Diakité Aboubacar Siriki, actuellement président de la Comnat-Alpc.
Concernant les actions de l’Ong Bienfaisance, le président Coulibaly Dramane a rappelé, entre autres, la prise en charge de milliers d’orphelins, la construction de châteaux d’eau, la réalisation d’activités génératrices de revenu. Avant de traduire sa gratitude au ministre de tutelle pour ses efforts qui ont favorisé la réalisation de cet édifice.
Selon le directeur général de la police nationale, l’Administrateur général de police Kouyaté Youssouf, la religion joue un rôle important dans l’organisation des communautés. Et apparaît comme un instrument d’éducation des fonctionnaires de police dans la quête permanente des actes de bienfaisance, de solidarité, de probité, d’entraide et d’amour pour le prochain.
Aussi fait-il remarquer, les policiers qui doivent incarner ces vertus en vue d’une harmonie et d’une solidarité entre les frères d’armes sont longtemps restés sans infrastructure moderne pouvant servir de lieu de prière.
C’est pourquoi il a remercié le président du Conseil supérieur des imams pour son implication personnelle dans la construction de cet édifice religieux. Qui contribuera davantage au rapprochement des fidèles policiers des vertus religieuses.
Selon le directeur général de la police nationale, l’Administrateur général de police Kouyaté Youssouf, la religion joue un rôle important dans l’organisation des communautés. Et apparaît comme un instrument d’éducation des fonctionnaires de police dans la quête permanente des actes de bienfaisance, de solidarité, de probité, d’entraide et d’amour pour le prochain.
Aussi fait-il remarquer, les policiers qui doivent incarner ces vertus en vue d’une harmonie et d’une solidarité entre les frères d’armes sont longtemps restés sans infrastructure moderne pouvant servir de lieu de prière.
C’est pourquoi il a remercié le président du Conseil supérieur des imams pour son implication personnelle dans la construction de cet édifice religieux. Qui contribuera davantage au rapprochement des fidèles policiers des vertus religieuses.
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