La prélature de l’Opus Dei comptabilise 40 ans de présence en Côte d’Ivoire. Les festivités de ce quarantenaire démarrent le samedi 15 février par une caravane de visites de certaines paroisses de l’archidiocèse d’Abidjan, pour s’achever le 26 septembre par une messe solennelle d’action de grâces à la cathédrale Saint Paul du Plateau.
« La caravane sera marquée par notre présence sur les paroisses pour mieux faire connaître l’Opus Dei et son message de l’appel à la sainteté reçu par son fondateur Saint Josémaria le 2 octobre 1928 », a précisé le père Sissoko lors d'un déjeuner de presse vendredi dernier à Yarani, école de formation professionnelle de jeunes filles, située à Abobo Plateau-Dokui.
La première étape de cette caravane, a-t-il indiqué, se tiendra à Saint-Jacques des Deux-Plateaux les 15 et 16 février. Au menu, il est prévu la célébration de la Sainte messe et une exposition sur les activités de l’Opus Dei.
L’occasion sera bonne pour l’ensemble des fidèles catholiques de constater que cette institution est loin d’être une secte contrairement aux idées reçues.
« L’Opus Dei est au sein de l’église et on a commencé en Côte d’Ivoire en 1980 avec l’accord des évêques. En plus nos fidèles appartiennent aux institutions territoriales que sont les diocèses et les paroisses. Alors qu’une secte c’est quelque chose de caché, secret. Nous, nous n’avons rien à cacher », a fait remarquer le père Sissoko.
Par ailleurs, a-t-il souligné, « Toutes sortes de personnes font partie de l’Opus Dei : des prêtres et des fidèles laïcs, des hommes et des femmes, des jeunes et des personnes âgées, des mariés et des célibataires, de tous domaines d’activité et milieux sociaux ».
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