« Je suis moi-même orpheline de père depuis l’âge de 4 ans. Je n’ai pas eu une vie facile. C’est la raison de mon engagement vis-à-vis des enfants abandonnés parfois dans la rue et aussi dans les hôpitaux ou poubelles après les accouchements », note-t-elle pour justifier son combat.
La fondatrice de l’Ong a par ailleurs salué toutes les bonnes volontés qui, entendant ses cris de détresse, apportent, chaque fois qu’elles peuvent, leurs contributions aux enfants et prennent en charge leur sortie détente, divertissement et autres.
C’est le cas de Serge Kouamé, opérateur économique qui a donné de la joie à ces enfants, le 19 mai. Il leur a offert un repas, comblé leur journée avec des prestations artistiques, etc.
Outre ce donateur, Israël Ben Yao, un pasteur, a offert à cette structure un terrain de 300 m2 sur la route d’Alépé pour la construction du siège de la fondation, exauçant ainsi un grand rêve que caressait Mme Tiégnéné.
Un autre opérateur dans le domaine du bâtiment et Btp, François Lého, a également offert un terrain de 500 m2à Assouindé avec un Arrêté de concession définitive (Acd).
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