Ils étaient à Yamoussoukro, Zambakro, Dimbokro, Man, Bouaflé ou Bouaké mais leurs yeux et espoirs étaient rivés en direction du camp de commandement supérieur de Gendarmerie d'Agban à Abidjan. Ils, se sont ces ex FDS (gendarmes compris, ndlr) qui espéraient faire entendre une revendication de prime après que ceux qui ont combattu pour qu' Alassane Ouattara arrive au pouvoir voient, 7 ans après, les promesses de ce dernier tenues à leur égard, être enfin effectives.
De sources concordantes des mutins du jour, tous rentrés en caserne depuis 18HTU, parfois sous menace militaire comme à Bouaké, était attendu un signal fort du camp d'Agban, resté silencieux, pour les motiver à étendre leur mouvement de demande d'argent à l'Etat, pour eux, promise par personne. Selon nos informations, le camp d'Agban n'aurait pas exprimé de solidarité avec les mutins et, au contraire, les aurait sommé de rapidement rentrer en caserne. Lire la suite
0 Commentaires
Participer à la Discussion
Commentez cet article