Dans son intervention d’ouverture, le président Touré Adama a dit que ces acteurs constituent une phase pilote. Il a également précisé que cette urgence s’inscrit dans le cadre du Projet de la mobilité urbaine d’Abidjan (Pmua), de la Banque Mondiale avec à la clé 1000 gbakas et 2000 taxis woros-woros, tous flambants neufs en provenance des concessionnaires automobiles.
De l'avis pour l’orateur, de telles offres ne sauraient revenir à des acteurs non lettrés. D’où, en plus des parchemins Cacr, il faut savoir lire et écrire. « Ayant très vite compris l’utilité de savoir lire et écrire, nous nous sommes très tôt mis à la tâche depuis 2011. Nous sommes donc équipés et le problème ne nous est pas étrange. Du coup, nous sommes à l’aise aujourd’hui de mettre gracieusement notre centre de formation à la disposition de ceux qui veulent apprendre à lire et à écrire. Nous sommes prêts pour la mission », a rassuré Touré Adama. Sa contribution a été saluée par des tonnerres d’applaudissements par tous les participants. Joignant l’acte à la parole, les premières séances de formation ont aussitôt démarré. Il faut rappeler si besoin en était que la formation s’effectue sur six mois et tous les jours ouvrables.
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