Les récents développements ont abouti à l’arrestation de trois collaboratrices du gynécologue suspecté dans le décès d’une institutrice et de son enfant au Centre hospitalier régional (Chr) de Guiglo.
L’opération visant à éradiquer les pratiques sanitaires illégales a déjà porté ses fruits avec la fermeture de 123 cliniques illégales dans la région.
L’opération visant à éradiquer les pratiques sanitaires illégales a déjà porté ses fruits avec la fermeture de 123 cliniques illégales dans la région.
L’action menée le vendredi 22 mars 2024, au Centre médical Careci sis au quartier Adjamé, a permis l’arrestation de trois aides-soignantes opérant de manière illégale.
Ces trois personnes ont été appréhendées aux environs de 19 heures lors d’une visite inopinée menée par Mme Bitty Marie Josèphe, directrice de la Depps. Conduites immédiatement au Commissariat de police de Guiglo, elles attendent désormais la présentation de leur employeur, Dr Cissé Mamadou, gynécologue suspecté dans le décès tragique de l'institutrice survenu au Chr de Guiglo.
Le Centre médical Careci dirigé par Dr Cissé Mamadou avait déjà fait l’objet d’une fermeture le 19 mars 2024, à la suite d'infractions graves, notamment le manque d’hygiène, des pratiques sanitaires illégales et le manque de qualification des agents. De plus, des cadres et agents de santé de l’État encore en fonction étaient impliqués dans ces pratiques illicites.
Ces trois personnes ont été appréhendées aux environs de 19 heures lors d’une visite inopinée menée par Mme Bitty Marie Josèphe, directrice de la Depps. Conduites immédiatement au Commissariat de police de Guiglo, elles attendent désormais la présentation de leur employeur, Dr Cissé Mamadou, gynécologue suspecté dans le décès tragique de l'institutrice survenu au Chr de Guiglo.
Le Centre médical Careci dirigé par Dr Cissé Mamadou avait déjà fait l’objet d’une fermeture le 19 mars 2024, à la suite d'infractions graves, notamment le manque d’hygiène, des pratiques sanitaires illégales et le manque de qualification des agents. De plus, des cadres et agents de santé de l’État encore en fonction étaient impliqués dans ces pratiques illicites.
Cette nouvelle arrestation soulève une fois de plus des questions sur la régulation et la supervision des établissements de santé dans la région.
Alors que l’enquête se poursuit sur les circonstances entourant le décès de l’institutrice et de son enfant, les autorités sanitaires demeurent déterminées à faire respecter les normes et à garantir la sécurité des patients dans tous les établissements de santé de la région du Cavally.
Alors que l’enquête se poursuit sur les circonstances entourant le décès de l’institutrice et de son enfant, les autorités sanitaires demeurent déterminées à faire respecter les normes et à garantir la sécurité des patients dans tous les établissements de santé de la région du Cavally.
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