Le professeur Francis Akindès, enseignant-chercheur à l’université Alassane Ouattara de Bouaké a proposé mardi, « la discrimination positive c’est-à-dire donner plus à ceux qui en ont moins », comme une solution au phénomène de « microbes » ou enfants dits en conflit avec la loi. « Il faut pratiquer la discrimination positive c’est-à-dire donner plus à ceux qui en ont moins. Par exemple, il faut créer plus d’infrastructures à Abobo qu’à Cocody », a préconisé Pr Akindes, au cours d’un débat autour de son film documentaire, « Parole aux microbes », à l’Institut Français d’Abidjan.
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