La méconnaissance des droits de l’homme par les populations, les barrières socio-culturelles et une mauvaise compréhension du genre sont autant de préoccupations qui interpellent la Commission nationale des droits de l’homme de Côte d’Ivoire (Cndhci). Pour régler cette problématique, Namizata Sangaré et ses collaborateurs tentent d’obtenir l’accompagnement des hommes de médias surtout des femmes. C’est pourquoi, la Cndhci vient d’initier l’université des médias. Elle est à sa première édition. L’ouverture a eu lieu dans les locaux de l’institution, aux deux-plateaux. L’objectif, selon les organisateurs, est d’approfondir les connaissances des participants en matière de droits fondamentaux et de droits des femmes, développer les outils pour comprendre la situation des femmes, devenir des personnes ressources pour ces questions de genre et de droits humains. C’est une formation qui va durer trois jours. Les questions des droits de l’homme et du genre seront au centre des échanges.
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