Selon Soro Mamadou, président de la Centrale humanisme, par ailleurs porte-parole du collectif, il s’agit à travers cette assemblée générale de faire un plaidoyer à l'Etat afin de maintenir les 11 004 fonctionnaires enseignants.
« Nous demandons à l'Etat de maintenir tous les 11 004 fonctionnaires enseignants à leurs postes tout en bénéficiant de leur traitement salarial initial et autres avantages sur le fondement des droits acquis et jusqu'à l'extinction de l'effectif défini », a plaidé Soro Mamadou.
Il a également appelé au respect des engagements relatifs à la trêve sociale, notamment la consultation et l'échange des informations sur toutes les questions relevant de la vie du fonctionnaire et agent de l'Etat, et la poursuite effective des travaux du comité consultatif de dialogue social.
Mais avant, le porte-parole a égrené et dépeint la situation. « Depuis un certain temps, la décision du Conseil des ministres en date du 7 juin 2023, faisant état de l'application effective en ce qui concerne les personnels enseignants hors secteur, des dispositions de l'article 3 du décret n°76-22 du 9 janvier 1976 portant institution d'échelles particulières de traitement en faveur des personnels enseignants est devenue virale sur les réseaux sociaux et crée la psychose au sein du corps enseignant ».
En effet, l'article 6 du protocole d'accord serait en contrario avec les textes. « Art 6 : Pour toute nouvelle doléance qu'une partie pourrait formuler la période de la trêve sociale, les parties s'obligent à se consulter et à rechercher un règlement par la voie du dialogue, suivant la notification par la partie diligente à l'autre partie, l'objet du différend né ou susceptible de naître, dans le cadre des comités de dialogue social. Les prises auront force exécutoire pour les parties qui s'obligent à les appliquer », a-t-il soutenu.
« Nous demandons à l'Etat de maintenir tous les 11 004 fonctionnaires enseignants à leurs postes tout en bénéficiant de leur traitement salarial initial et autres avantages sur le fondement des droits acquis et jusqu'à l'extinction de l'effectif défini », a plaidé Soro Mamadou.
Il a également appelé au respect des engagements relatifs à la trêve sociale, notamment la consultation et l'échange des informations sur toutes les questions relevant de la vie du fonctionnaire et agent de l'Etat, et la poursuite effective des travaux du comité consultatif de dialogue social.
Mais avant, le porte-parole a égrené et dépeint la situation. « Depuis un certain temps, la décision du Conseil des ministres en date du 7 juin 2023, faisant état de l'application effective en ce qui concerne les personnels enseignants hors secteur, des dispositions de l'article 3 du décret n°76-22 du 9 janvier 1976 portant institution d'échelles particulières de traitement en faveur des personnels enseignants est devenue virale sur les réseaux sociaux et crée la psychose au sein du corps enseignant ».
En effet, l'article 6 du protocole d'accord serait en contrario avec les textes. « Art 6 : Pour toute nouvelle doléance qu'une partie pourrait formuler la période de la trêve sociale, les parties s'obligent à se consulter et à rechercher un règlement par la voie du dialogue, suivant la notification par la partie diligente à l'autre partie, l'objet du différend né ou susceptible de naître, dans le cadre des comités de dialogue social. Les prises auront force exécutoire pour les parties qui s'obligent à les appliquer », a-t-il soutenu.
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