Dans son message à la nation, le ministre de la Santé et de l'Hygiène publique, Dr Aka Aouélé a, entre autres, invité les parents à adhérer au programme de vaccination des enfants. C'est gratuit, selon lui, dans les centres de santé et hôpitaux sur l'ensemble du territoire ivoirien, a-t-il encouragé.
"La vaccination contre l'hépatite B a été introduite dans le Programme élargi de vaccination de routine depuis 2001, pour interrompre la transmission mère-enfant et protéger l'enfant contre toute infection de l'enfance", a-t-il justifié.
L'innovation cette année, a dévoilé le ministre, c’est une dose supplémentaire à la naissance administrée dans les 24 à 72 heures de vie introduite par le programme élargi de vaccination pour renforcer l'immunité de l'enfant.
Le premier responsable de la santé a rappelé les actions menées par le gouvernement pour le bien-être de la santé de la mère et de l'enfant, dans le cadre de la lutte contre cette maladie.
Selon lui, cette vaccination qui, jusqu'à ce jour, se fait en trois doses, dont la première démarre à six (6) semaines de vie de l'enfant, est d'autant plus importante qu’elle empêche l'hépatite contractée dans l'enfance d'évoluer vers une cirrhose ou un cancer.
Auparavant, Dr Aka Aouélé a rappelé qu'en Côte d’Ivoire, la prévalence de l’hépatite B est de 8 à 10% et celle de l’hépatite C, de 1 à 3%.
En réaction, le gouvernement a décidé de s’impliquer dans la lutte contre cette pandémie en créant, le 11 décembre 2008, le Programme national de lutte contre les hépatites virales.
Assurer la prévention primaire des hépatites virales, intensifier le dépistage par le biais de l’information et de la sensibilisation des populations en général et plus particulièrement des groupes à risques, développer la promotion de l’accès aux médicaments et vulgariser les recommandations de bonnes pratiques, sont certaines de ses missions.
Le mode de contamination des hépatites indique que l’hépatite A et E sont de transmission oro-fécale, alors que les hépatites B, C et D se transmettent essentiellement par le sang, les rapports sexuels non protégés, la salive et la transmission mère-enfant.
Selon l’Oms, 2 milliards de personnes sont infectées par le virus de l’hépatite B dans le monde.
Source : Sercom Mshp
"La vaccination contre l'hépatite B a été introduite dans le Programme élargi de vaccination de routine depuis 2001, pour interrompre la transmission mère-enfant et protéger l'enfant contre toute infection de l'enfance", a-t-il justifié.
L'innovation cette année, a dévoilé le ministre, c’est une dose supplémentaire à la naissance administrée dans les 24 à 72 heures de vie introduite par le programme élargi de vaccination pour renforcer l'immunité de l'enfant.
Le premier responsable de la santé a rappelé les actions menées par le gouvernement pour le bien-être de la santé de la mère et de l'enfant, dans le cadre de la lutte contre cette maladie.
Selon lui, cette vaccination qui, jusqu'à ce jour, se fait en trois doses, dont la première démarre à six (6) semaines de vie de l'enfant, est d'autant plus importante qu’elle empêche l'hépatite contractée dans l'enfance d'évoluer vers une cirrhose ou un cancer.
Auparavant, Dr Aka Aouélé a rappelé qu'en Côte d’Ivoire, la prévalence de l’hépatite B est de 8 à 10% et celle de l’hépatite C, de 1 à 3%.
En réaction, le gouvernement a décidé de s’impliquer dans la lutte contre cette pandémie en créant, le 11 décembre 2008, le Programme national de lutte contre les hépatites virales.
Assurer la prévention primaire des hépatites virales, intensifier le dépistage par le biais de l’information et de la sensibilisation des populations en général et plus particulièrement des groupes à risques, développer la promotion de l’accès aux médicaments et vulgariser les recommandations de bonnes pratiques, sont certaines de ses missions.
Le mode de contamination des hépatites indique que l’hépatite A et E sont de transmission oro-fécale, alors que les hépatites B, C et D se transmettent essentiellement par le sang, les rapports sexuels non protégés, la salive et la transmission mère-enfant.
Selon l’Oms, 2 milliards de personnes sont infectées par le virus de l’hépatite B dans le monde.
Source : Sercom Mshp
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